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9 avril 2017 7 09 /04 /avril /2017 17:51
Les soutiens de Fillon ciblent Macron
Les soutiens de Fillon ciblent Macron

François Baroin, le 6 avril 2017 à Troyes

 

Présidentielle: les soutiens de Fillon ciblent Macron

Haro sur Emmanuel Macron: les soutiens de François Fillon, candidat de la droite à l'élection présidentielle, ont vivement attaqué dimanche le candidat d'En Marche!, l'un de ses principaux concurrents qui le mettraient en échec au premier tour selon les sondages.

"C'est Macron, l'héritier de François Hollande", a lancé François Baroin, président des maires de France, devant plus de 25.000 personnes, selon les organisateurs, et une marée de drapeaux tricolores.

Selon lui, M. Macron "doit tout" à M. Hollande, "il lui doit sa carrière, il lui doit ses nominations, il lui doit ses postes, il lui doit ses idées, il lui doit ses projets, il lui doit aussi ses soutiens, il lui doit ses amis, ses fidèles, il lui doit son gouvernement, il lui doit son avocat", Me Jean-Pierre Mignard. 

"Hollande l'a formé et déformé puisque M. Macron, c'est tout à la fois et réciproquement la duplicité et le renoncement, l'hésitation et l'imprécision, l'impréparation et l'improvisation", a ajouté M. Baroin.

"Désormais, les masques sont tombés: le candidat du +ni droite ni gauche+, le candidat de l'extrême flou, a montré son vrai visage: Emmanuel Macron, c'est Hollande saison 2", s'est exclamée Valérie Pécresse, présidente de la région Ile-de-France.

Selon elle, Macron et Hollande, "c'est le même programme économique fait de folie dépensière, d'absence de réformes, et au bout, toujours plus de dette, d'impôts et de chômage".

Emmanuel Macron, c'est "le dauphin de M. Hollande" et "le représentant de la gauche bobo", a dénoncé Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat.

"Vous avez aimé la synthèse molle de Hollande, vous adorerez l'eau tiède de Macron", a fustigé Luc Chatel, porte-parole de M. Fillon, tandis que son collègue à l'Assemblée, Eric Ciotti, assurait que "Macron, c'est la supercherie en marche", en allusion au parti créé par l'ex-ministre de l'Economie, En marche!.

Pour le chef d'entreprise Henri de Castries, "quitter le Titanic dont on a été le copilote dans une chaloupe ne mérite pas un destin".

M. Fillon, mis en examen dans l'affaire des emplois présumés fictifs de membres de sa famille, est distancé dans les sondages par Marine Le Pen, présidente du Front national, et l'ex-ministre de l'Economie. Jean-Luc Mélenchon, candidat de La France insoumise, fait désormais jeu égal avec lui selon un sondage BVA.

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9 avril 2017 7 09 /04 /avril /2017 17:44

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Pour Marine Le Pen, la France "n'est pas responsable du Vel d'Hiv"
Pour Marine Le Pen, la France

La candidate du Front national à la présidentielle Marine Le Pen à Ajaccio le 8 avril 2017

 

Histoire: Marine Le Pen juge que la France "n'est pas responsable" de la rafle du Vel d'Hiv en 1942

Marine Le Pen, candidate du FN à l'élection présidentielle, a jugé dimanche que la France n'était "pas responsable" de la rafle du Vel d'Hiv en 1942 à Paris, au cours de laquelle plus de 13.000 juifs avaient été arrêtés.

"Je pense que la France n'est pas responsable du Vel d'Hiv", a répondu au "Grand Jury" RTL-LCI-Le Figaro la présidente du FN, interrogée sur cette rafle et la décision du président Jacques Chirac de reconnaître en juillet 1995 la responsabilité de la France.

"Je pense que de manière générale, plus généralement d'ailleurs, s'il y a des responsables, c'est ceux qui étaient au pouvoir à l'époque, ce n'est pas LA France. Ce n'est pas LA France", a déclaré Mme Le Pen.

"La France a été malmenée dans les esprits depuis des années", a dénoncé la présidente du parti d'extrême droite, candidate à l'élection présidentielle. "En réalité, on a appris à nos enfants qu'ils avaient toutes les raisons de la critiquer, de n'en voir peut-être que les aspects historiques les plus sombres", a-t-elle regretté, ajoutant: "Donc, je veux qu'ils soient à nouveau fiers d'être Français."

"En niant la responsabilité de l'Etat français sur le Vel d'Hiv, Marine Le Pen rejoint son père sur le banc de l'indignité et du négationnisme", a réagi sur Twitter Christian Estrosi, président LR de Paca. "Hommage à Jacques Chirac, qui, le premier, avait eu le courage de reconnaître que l'Etat français avait, ce jour-là, commis l'irréparable", a-t-il ajouté.

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9 avril 2017 7 09 /04 /avril /2017 13:46

Paris-Roubaix le Dimanche 09 Avril 2017

Passage à HAM (80)

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9 avril 2017 7 09 /04 /avril /2017 08:18
Moralisation, économie, diplomatie: Macron décrit les premiers mois de son mandat
 
 Emmanuel Macron photographié lors de son meeting en Corse, le 7 avril 2017, décrit dans le JDD ce que seraient ses premiers mois à l\

Emmanuel Macron photographié lors de son meeting en Corse, le 7 avril 2017, décrit dans le JDD ce que seraient ses premiers mois à l'Elysée s'il est élu

 

Présidentielle: Emmanuel Macron décrit dans le JDD ce que seraient ses premiers mois à l'Elysée s'il est élu

Emmanuel Macron décrit dans le JDD ce que seraient ses premiers mois à l'Elysée s'il est élu, avec notamment le vote d'une loi de moralisation de la vie publique et une tournée des capitales européennes.

Le candidat d'En Marche! affirme ne pas croire à la théorie des "cent jours" au début d'un mandat: "On ne peut pas être dans un pays où la campagne dure deux ans et une présidence se réduit à cent jours !".

Il donne toutefois des indications sur ses premières mesures en cas d'élection: "dans les six premiers mois, je renouvellerai ou je confirmerai la totalité des postes de responsabilité nommés en Conseil des ministres - 250 personnes". "Je ne dis pas que je souhaite remplacer tout le monde ! (...) Mais pour mettre en œuvre une politique ambitieuse, il faut des directeurs qui endossent la feuille de route décidée par le politique", selon lui.

Le projet de loi de moralisation de la vie politique sera lui "mis sur la table du Conseil des ministres avant les législatives" de juin. Il comportera en particulier "l'interdiction du népotisme pour les parlementaires".

Pour éviter les conflits d'intérêts, les activités de conseil seront interdites. 

Sur le plan économique, M. Macron souhaite que plusieurs textes soient présentés "dès l'été", dont un sur la simplification des normes. "Dès mon entrée en fonction, un audit des finances publiques sera demandé afin de disposer à la mi-juin des résultats de la gestion en cours", prévoit aussi l'ancien ministre de l'Economie, précisant qu'il n'y aurait pas de loi de finances rectificative cet été : "ni cadeau ni augmentation d'impôts".

Il souhaite "introduire dès l'été un projet de loi d'habilitation pour simplifier le droit du travail et décentraliser la négociation". "Il s'agit de donner plus de place à l'accord majoritaire d'entreprise ou de branche, d'une part, d'encadrer les décisions des prud'hommes, d'autre part", prévient-il. "Le tout par ordonnances, pour procéder de manière rapide et efficace".

En matière de sécurité, il "mettra en place dès l'été une cellule de coordination du renseignement ainsi qu'une task force sur le terrorisme islamiste sous l'autorité du président".

Enfin, à l'été, il ferait "un tour des capitales européennes" afin de proposer une "feuille de route à cinq ans pour doter la zone euro d'un vrai budget et pour une vraie Europe à 27 de l'environnement, de l'industrie et de la gestion des migrations".

 
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9 avril 2017 7 09 /04 /avril /2017 05:44
Gestion de l'ex-Poitou-Charentes: l'opposition régionale veut saisir la justice
Gestion de l'ex-Poitou-Charentes: l'opposition régionale veut saisir la justice

Virginie Calmels (LR), le 12 janvier 2017 à Bordeaux

 

Poitou-Charentes: l'opposition régionale veut saisir la justice contre "les irrégularités" de gestion de l'ex-région

Les élus du groupe d'opposition LR/CPNT de la région Nouvelle-Aquitaine ont déposé, le 7 avril, au tribunal administratif de Bordeaux une demande d'autorisation d'action en justice contre "les irrégularités" de gestion de l'ex-Région Poitou-Charentes, ont-ils annoncé samedi.

Virginie Calmels, présidente (LR) du groupe LR/CPNT, son vice-président (LR) Yves d'Amecourt, et Olivier Chartier, ancien président du groupe d'opposition LR de l'ex-Région, rappellent dans un communiqué qu'ils avaient remis, le 23 mars, au Président socialiste de la Nouvelle-Aquitaine, Alain Rousset, "un mémoire sur la gestion de l'ex-Région Poitou-Charentes", pour lui demander de l'inscrire à l'ordre du jour de la séance plénière du Conseil régional, le 10 avril.

Ce mémoire s'appuie sur un récent rapport de la Chambre régionale des comptes (CRC) pour dénoncer la mauvaise gestion financière de l'ex-Région présidée pendant dix ans par Ségolène Royal (2004-2014), aujourd'hui ministre de l'Environnement et de l'Energie.

Dans ce rapport, la CRC relève des impayés de 111 millions d'euros, que la région Nouvelle-Aquitaine (Aquitaine, Limousin, Poitou-Charentes) a réglés, et une dette léguée par l'ex-Poitou-Charentes, dont 46 millions d'emprunts toxiques que la nouvelle région doit rembourser.

"M. Rousset ayant refusé d'inscrire à l'ordre du jour notre mémoire reprenant les irrégularités mises en lumière par la CRC, nous avons saisi le tribunal administratif pour nous permettre d'agir en justice à la place du Conseil régional, comme le prévoit la loi", a expliqué à l'AFP Yves d'Amécourt. 

"On veut agir contre le directeur financier de l'ex-Poitou-Charentes, Daniel Parizot, qui a signé des contrats de prêts sans délégations de signature", a-t-il ajouté. "On veut aussi agir contre les deux anciens présidents (socialistes) de Poitou-Charentes, Ségolène Royal et (son successeur) Jean-François Macaire pour avoir caché l'existence de prêts toxiques et masqué la réalité des comptes", a souligné l'élu. Selon lui, "le préjudice pour les contribuables est évalué aujourd'hui à plus de 100 millions d'euros".

Le groupe UDI au Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine avait déposé le 14 février une plainte visant l'ex-directeur financier de Poitou-Charentes. Il reproche à Daniel Parizot d'avoir contracté des prêts sans délégation de signature ni délibération de l'assemblée régionale. Lors de la séance plénière du Conseil régional le 19 décembre dernier, le président du groupe UDI, Jean Dionis du Séjour, avait demandé à Alain Rousset de porter plainte contre Daniel Parizot. 

Alain Rousset avait alors rappelé que la CRC n'avait pas jugé utile de saisir la Cour de discipline budgétaire, seule habilitée à poursuivre pénalement. Un argument réitéré samedi par la présidence du Conseil régional, interrogée par l'AFP. 

Le 8 décembre, la ministre socialiste de l'Environnement, Ségolène Royal, avait pour sa part estimé que le rapport de la CRC validait la gestion de l'ex-Poitou-Charentes.

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9 avril 2017 7 09 /04 /avril /2017 05:28
La campagne Fillon favorise-t-elle l'«union des droites», le vieux «rêve de Patrick Buisson»?

POLITIQUE D'après Emmanuel Macron, la campagne de Fillon devrait entraîner «une recomposition entre une partie de la droite et l’extrême droite»...

Capture d'écran du site http://operation-voscouleurs.fr/.
Capture d'écran du site http://operation-voscouleurs.fr/. - http://operation-voscouleurs.fr/

Vers une nouvelle démonstration de force ?  François Fillon tiendra un grand meeting parisien dimanche. Le dernier organisé dans la capitale avait sauvé la peau du candidat, mais il avait profondément divisé une partie de la droite. « Je suis surtout très préoccupé par ce rassemblement initialement organisé pour dresser le peuple contre la justice et la presse. Ça, c’est le propre de l’extrême droite, pas de la droite républicaine », jugeait alors Jean-Louis Debré.

Depuis janvier, l’ancien Premier ministre est régulièrement accusé d’avoir radicalisé son discours, et rapproché le noyau dur, qui le soutient contre vents et marées, des électeurs du Front national. Dans un entretien au Monde lundi, Emmanuel Macron en remet une couche, en estimant que « François Fillon est en train de réaliser le rêve de Patrick Buisson de la convergence entre l’extrême droite et une partie de la droite dite républicaine ».

Le leader d’En Marche estime que la campagne menée par le candidat LR entraînera « une recomposition entre une partie de la droite et l’extrême droite, que François Fillon le veuille ou non ». Qu’en est-il réellement ?

« Une partie des électeurs FN et LR défendent à 90 % les mêmes idées »

« L’union des droites », n’est pas une idée neuve. « Ce terme correspond à une aspiration des libéraux depuis la fin du 19e siècle, qui n’a d’ailleurs jamais réussi. Mais le rêve de Patrick Buisson est différent puisqu’il s’agit de regrouper toute la famille nationaliste dans une grande force politique dominante », avance Gilles Richard, historien et professeur des universités à Rennes 2.

Patrick Buisson, mais aussi Philippe de Villiers, Eric Zemmour, ou Robert Ménard, pour ne citer qu’eux, militent depuis plusieurs années pour une recomposition du paysage politique à droite. Le maire de Béziers précise à 20 Minutes :

« Je pense qu’une grande partie des électeurs LR, une bonne partie du FN, et tous ceux qui sont au milieu, les proches de De Villiers, du Cnip, de Nicolas Dupont-Aignan, et de Jean-Frédéric Poisson, défendent à 90 % les mêmes idées. A travers ce concept de l’union des droites, j’aspire donc à la création d’un grand parti conservateur ».

Ces derniers mois, l’ancien président de RSF a oeuvré pour un tel rapprochement, mais il s’est confronté à la réalité politique. En mai dernier, l’union des droites tourne même au vinaigre lorsque Marion Maréchal-Le Pen claque la porte du « Rendez-Vous de Béziers », le trouvant trop hostile au FN. En octobre, Jean-Frédéric Poisson, mis sous pression par Les Républicains, annule un meeting commun avec le maire de Béziers. A ces difficultés, s’ajoute l’impossibilité d’une alliance électorale, rejetée tant par les dirigeants LR et UDI que par ceux du Front National.

« Une union pas réaliste »

En septembre dernier, le collectif « Voscouleurs », fondé par d’anciens militants de la Manif pour tous, lance une pétition « pour réaliser l’union des droites, désigner leur candidat unique et définir le programme commun qui redressera la France dès 2017 ».

Capture d'écran du site http://operation-voscouleurs.fr/.
Capture d'écran du site http://operation-voscouleurs.fr/. - http://operation-voscouleurs.fr/

L’initiative est un échec, reconnaît aujourd’hui Joseph Pons, responsable presse du collectif. « Malgré nos 10.000 signatures, on s’est rendu compte qu’il était un peu tôt. Pour cette élection, les candidats ne sont pas assez mûrs. L’union des droites n’est pas d’actualité. François Fillon, que l’on a connu plus conservateur sur certains points lors de la primaire, s’attache aujourd’hui surtout à garder l’union du parti Les Républicains ».

Une union « pas réaliste », avait d’ailleurs jugé Henri Guaino, interrogé sur le mouvement, il y a quelques mois. « L’histoire de la droite est l’histoire de plusieurs familles politiques qui ont du mal à s’entendre, voire se détestent… Monsieur Ménard a essayé avec une partie de la droite, et vous avez vu le résultat ? C’est le même depuis 200 ans. Les gens se sont écharpés », avait répondu le député.

 

« Le rapprochement se fera à chaud après les élections »

« Ce que tente de faire François Fillon ne peut pas fonctionner, car comme Nicolas Sarkozy, il tente d’associer à son programme néolibéral un versant identitaire. Mais cette synthèse est impossible », abonde Gilles Richard, auteur de l’Histoire des droites en France (Perrin). « Plus François Fillon avance dans cette campagne, plus il creuse la faille qui coupe Les Républicains en deux », note-t-il toutefois.

En janvier dernier, Marine Le Pen elle-même enterrait toute possibilité de rapprochement dans une interview à Causeur. « Je pense que l’union des droites est un fantasme réducteur ! J’ai 48 ans et ça fait quarante ans que j’en entends parler. Le problème des gens qui défendent cette idée, c’est que la droite refuse de s’allier avec nous ».

Qu'importe le refus des partis concernés, ou la question de l'Euro, qui divise toujours les deux électorats, Robert Ménard reste convaincu que l’union est l’affaire de quelques semaines. «La base frontiste est moins hostile à l'Euro que certains dirigeants. Marine Le Pen a d'ailleurs déjà consenti à quelques inflexions, dans la sémantique. Mais le rapprochement ne doit pas être fait par les appareils. Je le vois plus comme un Podemos de droite», réplique l’élu de Béziers. «Il se fera à chaud dans la foulée des élections, et regroupera ceux qui, à froid, n’auront jamais pensé s’asseoir côte à côte. Et ce quel que soit le résultat en mai prochain ». A droite, la question pourrait d'ailleurs se poser dès le soir du premier tour, en cas d'élimination de François Fillon.

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9 avril 2017 7 09 /04 /avril /2017 05:23
Présidentielle: Bertrand appelle Sarkozy et Juppé à «faire plus» pour soutenir Fillon

POLITIQUE Il plaide pour que les trois hommes fassent un meeting commun avant le premier tour, le 23 avril...

Xavier Bertrand en meeting à Valenciennes le 10 décembre 2015
Xavier Bertrand en meeting à Valenciennes le 10 décembre 2015 - SARAH ALCALAY/SIPA

 

Allez, un petit effort. Xavier Bertrand, président LR des Hauts-de-France, appelle Nicolas Sarkozy et Alain Juppé à « faire beaucoup plus » pour soutenir François Fillon, en tenant par exemple un meeting commun.

Nicolas Sarkozy et Alain Juppé ont assuré ces derniers jours sur Facebook et Twitter qu’ils voteraient à l’élection présidentielle pour François Fillon, malgré ses déboires judiciaires.

« C’est bien mais il faut faire beaucoup plus », estime à deux semaines du premier tour Xavier Bertrand dans Le Parisien/Aujourd’hui en France à paraître dimanche. « Dans cette dernière ligne droite, tout le monde doit se mobiliser entièrement », fait valoir l’ancien ministre.

« François Fillon a besoin d’eux ! »

« Je lance un appel à Nicolas Sarkozy ainsi qu’à Alain Juppé : François Fillon a besoin d’eux ! », poursuit Xavier Bertrand. Il plaide pour que les trois hommes fassent un meeting commun avant le premier tour, le 23 avril. « Ce serait un beau message d’unité et un signal fort envoyé à tout notre électorat », explique Xavier Bertrand.

François Fillon tient un grand meeting dimanche après-midi porte de Versailles, à Paris.

Xavier Bertrand promet en outre de ne pas intégrer le gouvernement et de rester à la tête de sa région si François Fillon l’emporte : « un engagement politique, ça compte. Surtout quand il est tenu », relève Xavier Bertrand.

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9 avril 2017 7 09 /04 /avril /2017 05:18
Présidentielle: La Haute autorité du PS rappelle à l'ordre les socialistes qui lâchent Hamon

PRESIDENTIELLE Le parti dénonce l’attitude de ceux qui « font connaître leur préférence » pour « un autre candidat »…

Benoit Hamon à Nancy, le 5 avril 2017.
Benoit Hamon à Nancy, le 5 avril 2017. - EMILE POL/SIPA

 

Au PS, on dénonce des attitudes contraires au « principe de loyauté ». La Haute autorité éthique du parti a appelé samedi les socialistes à respecter la primaire qui a désigné Benoît Hamon comme candidat à la présidentielle, déplorant que certains tablent « manifestement sur la victoire d’un autre candidat ».

>> A lire aussi : Cambadélis saisit la Commission des conflits

« Au terme d’un processus électoral ouvert et incontestable, les Primaires Citoyennes ont désigné Benoît Hamon comme candidat officiel à l’élection présidentielle de la Belle Alliance Populaire, dont le Parti socialiste est la composante principale. Or la Haute Autorité Ethique constate que, régulièrement, des adhérents du Parti socialiste, et notamment des élus, tablant manifestement sur la victoire d’un autre candidat, font connaître leur préférence pour celui-ci, ce qui revient à nier le processus électoral des Primaires Citoyennes », déplore la Haute autorité dans un communiqué.

« Ne soutenir que les candidats investis ou soutenus par le Parti socialiste »

« Cette préférence se manifeste plus ou moins intensément, qu’il s’agisse de l’annonce du vote pour un autre candidat, du ralliement pur et simple ou de la recherche d’une investiture concurrente pour les élections législatives », constate-t-elle, alors que de nombreux socialistes désertent la campagne au profit notamment du leader d’En marche, Emmanuel Macron, qui n’est pas passé par les Primaires citoyennes.

Cette attitude est contraire au « principe de loyauté » qui oblige les adhérents du PS « à ne soutenir que les seuls candidats à des fonctions électives effectivement investis ou soutenus par le Parti socialiste, quelles que soient les réserves qu’ils déclarent éprouver à l’égard de la manière dont le candidat investi mène sa campagne », rappelle la Haute autorité.

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9 avril 2017 7 09 /04 /avril /2017 05:11
Le Maire votera Fillon par respect de son engagement pris durant la primaire
Le Maire votera Fillon par respect de son engagement pris durant la primaire

Le projet de François Fillon est "le mieux à même de redresser la France", estime Bruno Le Maire le 8 avril 2017. (photo d'archives)

 

Bruno Le Maire, qui avait démissionné de l'équipe de campagne de François Fillon, confirme samedi qu'il votera pour le candidat de la droite, par respect de l'engagement pris durant la primaire de soutenir le vainqueur.
 



L'ancien ministre, qui conseillait François Fillon sur les questions internationales, avait démissionné le 1er mars de l'équipe de campagne pour protester contre le fait que le député de Paris ne respectait pas sa promesse de renoncer à être candidat s'il était mis en examen.

RESPECTER SES ENGAGEMENTS

"En revanche, j'ai pris un engagement au cours de la primaire: voter pour le vainqueur. Je tiendrai cet engagement le 23 avril", assure Bruno Le Maire dans Paris Normandie.

"Dans la situation de grande confusion politique où nous sommes, je pense que les Français, plus que jamais, ont besoin de responsables politiques qui font ce qu'ils ont promis de faire", explique l'ancien candidat à la primaire de la droite. 

FILLON, "LE MIEUX À MÊME DE REDRESSER LA FRANCE"

Bruno Le Maire "continue à croire" que le projet de François Fillon est "le mieux à même de redresser la France". "Il ne doit surtout pas être édulcoré!", demande-t-il. Selon lui, François Fillon est en mesure de se qualifier pour le second tour. Mais il met en garde contre le "risque de bunkerisation de la droite". 

"La droite doit parler à toute la société, pas à des clientèles. Elle doit être un espoir, pas une punition. Elle doit se tourner davantage vers les jeunes générations", préconise Bruno Le Maire, regrettant qu'"à peine plus de 10% des électeurs de 25 ans (veuillent) voter" pour son camp.

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8 avril 2017 6 08 /04 /avril /2017 15:14
Contre l'EI, Le Pen fait un parallèle entre Assad et Staline
Contre l'EI, Le Pen fait un parallèle entre Assad et Staline

Marine Le Pen visite la Foire du Trône en compagnie de Marcel Campion (d), son fondateur, le 7 avril 2017 à Paris

 

Syrie: contre l'EI, assimilié au nazisme, Marine Le Pen fait un parallèle entre Assad et Staline

Marine Le Pen, candidate Front national à la présidentielle, a justifié vendredi son choix en Syrie du "moindre mal" Bachar al-Assad face au groupe Etat islamique, comparé à Staline pendant la Seconde guerre mondiale face à Hitler.

"Pendant la Seconde guerre mondiale, pour éradiquer le nazisme, on s'est alliés avec Staline... Staline ! C'est pas rien quand même", a affirmé Mme Le Pen sur BFM TV.

"Un certain nombre de pays européens considéraient qu'Hitler était un si grand danger (...) qu'il fallait (...) s'allier avec Staline pour pouvoir le combattre", a souligné Mme Le Pen: "C'est cela la politique internationale!".

Pour la présidente du FN, la situation en Syrie aboutit à un choix binaire entre d'un côté Bachar al-Assad, de l'autre le groupe Etat islamique. Choisir le premier, "c'est la politique du moindre mal".

"Moi je n'ai aucun lien avec Bachar al-Assad, je ne l'ai jamais rencontré, je n'ai pas particulièrement de considération pour lui", a-t-elle dit, alors que l'un de ses amis proches et membre de son équipe de campagne, Frédéric Chatillon, a longtemps fait des affaires avec le régime syrien.

"Aujourd'hui, y a-t-il une solution qui soit viable, crédible, pour remplacer Bachar al-Assad sans que l'Etat syrien s'effondre ?" a-t-elle interrogé.

"Si l'Etat syrien s'effondre, ce sont les portes de la Syrie qui s'ouvrent à des centaines de milliers de migrants qui passeront par la Syrie pour passer en Europe", s'est-elle inquiétée, y voyant "un grand danger pour le peuple français".

La patronne du FN était aussi interrogée sur les bombardements de la nuit des forces américaines en Syrie, en riposte à une attaque chimique présumée par l'armée de Bachar al-Assad qui a fait plus de 80 morts.

Après s'être dite "étonnée" le matin de la nouvelle position de l'administration Trump, elle a dit vouloir "savoir si ce bombardement (allait) avoir des suites. S'il n'a pas de suites, ça reste un désaccord." 

"Si (le président américain Donald) Trump change radicalement de position et décide d'aller intervenir avec l'armée américaine en Syrie, comme en Irak ou en Libye, avec les conséquences que l'on connaît (...) alors effectivement pour le coup nous aurons une divergence profonde sur la vision que nous avons de la politique internationale", a assuré l'eurodéputée, qui a répété son souhait d'une "enquête internationale" sur le sujet.

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  • : Le blog de Zuwala Richard
  • : Prévention et santé.Insertion de personnes en détresse sociale. Intervenant sur les problèmes d'addictologie.(alcool, drogue) Photographe amateur. Membre du bureau départemental et national fédération UDI de la Somme Président de la Croix Rouge locale de Ham (80) J'ai écrit un livre paru en 2005 *Une Vie Autre et Nouvelle* édité par la Société des Écrivains. Président de la Croix Rouge de Ham (Somme) Membre du Conseil d'Administration Alcool Assistance (Somme) Secrétaire adjoint du bureau départemental de la Somme Membre du CCAS de HAM Somme
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