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13 décembre 2017 3 13 /12 /décembre /2017 07:09
Xavier Bertrand quitte LR : «Il est le bienvenu» chez LREM assure Christophe Castaner

POLITIQUE Le délégué général du parti présidentiel Christophe Castaner a tendu la main ce mardi à Xavier Bertrand…

Xavier Bertrand au conseil régional des Hauts-de-France, en 2016

Encore une belle prise en prévision pour LREM ?  Alors que Xavier Bertrand vient d’annoncer lundi soir son départ définitif du parti Les Républicain (LR), le patron de La République en marche lui fait déjà les yeux doux.

>> A lire aussi : QUIZ. Qui reste ou qui part des Républicains, et pourquoi?

« Poursuivre la recomposition politique »

« Nous avons le principe de la double appartenance à En Marche, donc s’il veut nous rejoindre, je lui tends la main, il est le bienvenu », a déclaré ce lundi à la presse le délégué général du parti présidentiel Christophe Castaner, avant la réunion hebdomadaire du groupe LREM à l’Assemblée.

« C’est la volonté de la République en marche de poursuivre la recomposition politique. Certains continuent à penser que le clivage essentiel en France est celui entre la droite et la gauche. On considère que ce n’est pas le cas, les Français eux aussi », a poursuivi le secrétaire d’Etat aux relations avec le Parlement.

« Toutes les énergies et celle de Xavier Bertrand notamment, comme président de région, sont des énergies positives pour la France », a insisté Christophe Castaner.

>> A lire aussi : Les Républicains: «Ce n'est pas acceptable»... Wauquiez fustige la décision de Xavier Bertrand de quitter le parti

Avenir en questions

« Moi, mon étiquette aujourd’hui, c’est la région des Hauts-de-France », a de son côté déclaré Xavier Bertrand ce mardi sur CNEWS.

Pourrait-il en revanche rejoindre « Agir », le parti de droite « constructifs » pro-Macron ? « Non. Ni à court terme, ni à moyen terme, ni à long terme. Que les choses soient claires », a-t-il répondu.
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12 décembre 2017 2 12 /12 /décembre /2017 15:58
Les Républicains: «Ce n'est pas acceptable»... Wauquiez fustige la décision de Xavier Bertrand de quitter le parti

POLEMIQUE «Ce n'est pas acceptable de claquer la porte de sa famille politique dans ces conditions», dénonce Laurent Wauquiez après la décision de Xavier Bertrand...

Xavier Bertrand, président (LR) de la région Hauts-de-France.

Xavier Bertrand, président (LR) de la région Hauts-de-France. — S. Alcalay / SIPA

  • «J'ai décidé de quitter définitivement Les Républicains», a annoncé Xavier Bertrand lundi.
  •  Laurent Wauquiez a fustigé ce choix, en jugeant «pas acceptable de claquer la porte de sa famille politique dans ces conditions»

Il voit rouge. Le président du parti LR, Laurent Wauquiez, a fustigé mardi Xavier Bertrand et son choix de quitter le parti, en jugeant «pas acceptable de claquer la porte de sa famille politique dans ces conditions», lors de la réunion des députés LR, selon des participants.

Jugeant que «les calculs personnels nous tuent, et nous risquons d'en payer collectivement le prix», Laurent Wauquiez a lancé «ce n'est pas acceptable de claquer la porte de sa famille politique dans ces conditions. Voir un tel succès de mobilisation le dimanche et partir ainsi le lundi soir...», selon des propos rapportés. «J'ai tenté de joindre Xavier Bertrand toute la journée d'hier, je lui ai laissé des messages. Sa réponse, je l'ai eue hier durant le JT de France 2», a-t-il aussi affirmé.

>> Quiz: Connaissez-vous bien Laurent Wauquiez?

«Les égos, les aigreurs personnelles, c'est le monde d'hier»

Défendant pour sa part «une aventure collective» et la volonté de «se concentrer sur le souffle de la reconstruction», le nouveau patron de LR a assuré que «les égos, les aigreurs personnelles, c'est le monde d'hier. Il faut laisser les attitudes teintées d'égoïsme à la porte. Je ne regarde pas dans le rétroviseur, nous avançons».

>> A lire aussi: L'élection de Wauquiez n'emballe (vraiment) pas de nombreux ténors du parti

A peine élu président de LR, Laurent Wauquiez a dû affronter lundi son premier coup dur avec l'annonce du départ de Xavier Bertrand. Cette défection est le signe de la lourdeur de la tâche qui l'attend pour incarner l'opposition, tout en contenant la fuite des «modérés» et en maintenant sa stratégie de siphonnage du FN.

«J'ai décidé de quitter définitivement Les Républicains», a annoncé le président des Hauts-de-France, lundi, au journal de 20H00 de France 2. «Je ne reconnais plus ma famille politique alors j'ai décidé de la quitter», a-t-il dit, en dénonçant des «dérives» de LR, notamment sur l'Europe. Il a assuré qu'il n'entendait ni rejoindre un autre parti ni en créer un nouveau.

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11 décembre 2017 1 11 /12 /décembre /2017 06:10
Election de Laurent Wauquiez aux Républicains: «Un désaveu à ceux qui ont seriné que la droite avait coulé»

REACTIONS L'élection de Laurent Wauquiez à la tête du parti Les Républicains a fait réagir de nombreux responsables politiques ce dimanche soir...

Laurent Wauquiez, élu président du parti Les Républicains, le 10 décembre 2017 à Paris

  • Laurent Wauquiez a été élu ce dimanche, dès le premier tour, président des Républicains (LR).
  • Il recueille 74,64% des suffrages exprimés, contre 16,11% pour Florence Portelli et 9,25% pour Maël de Calan.
  • Responsables politiques de droite et de gauche ont commenté cette victoire.

Sans surprise, Laurent Wauquiez a été élu à la tête du parti Les Républicains (LR) ce dimanche soir. Le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes totalise près de 75 % des voix. Cette victoire sans appel face à Maël de Calan et Florence Portelli a fait réagir nombre de responsables politiques ce dimanche soir.

>> A lire aussi: Les défis de Laurent Wauquiez, nouveau patron de la droite

« Il faut maintenant rassembler »

Juste après la proclamation des résultats par Anne Levade, présidente de la haute autorité du parti, Bernard Accoyer, secrétaire général de LR a évoqué un « succès » dans une allocution au siège du mouvement. « En face de la gauche modernisée qui est celle de La République en marche, il faut un grand parti de la droite et du centre, Les Républicains », a-t-il jugé, affirmant que LR est « la première formation d’opposition ».

>> A lire aussi: QUIZ. Les Républicains: Connaissez-vous Laurent Wauquiez?

Gérard Larcher, président LR du Sénat, a affirmé dimanche dans un communiqué qu'« il faut maintenant rassembler toutes les sensibilités et reconstruire autour d’un projet ». « C’est le défi que nous devons ensemble relever, c’est le travail que devra engager une équipe diverse et renouvelée autour de Laurent Wauquiez », a-t-il ajouté.

Bruno Retailleau, patron du groupe LR au Sénat, a estimé dans un communiqué que cette élection « est surtout un désaveu cinglant à tous ceux qui nous ont seriné que la droite française avait coulé corps et biens depuis l’élection d’Emmanuel Macron ». « Je ne doute pas que Laurent Wauquiez saura rassembler notre famille », a assuré le président du microparti Force Républicaine, à la suite de François Fillon.

« Droitisation des Républicains »

Dans un tweet, Christophe Castaner, secrétaire d’État et délégué général de LREM adresse ses félicitations à Laurent Wauquiez. « Il est important pour la vitalité du débat démocratique que ceux qui, à LR, ou au PS, veulent incarner l’opposition puissent avoir une ligne claire », dit le chef du parti du président Emmanuel Macron au nouveau chef de la droite.

Le Parti socialiste, dans un tweet, estime que « ce soir, une droite ultra-conservatrice, qui prétend combattre le FN en reprenant ses idées prend la tête de LR ».Daniel Leca, porte-parole de l’UDI, avance dans un tweet que « l’élection de Laurent Wauquiez est l’illustration de la droitisation des Républicains ».

« Soupçons de tricherie »

Frédéric Lefebvre, délégué national du nouveau parti « Agir, la droite constructive » et ancien de LR, s’insurge contre cette victoire. Dans un communiqué, l’ancien député juge le nouveau président LR « illégitime ». Il estime que les « dés étaient pipés » d’avance et évoque, sans fournir de preuves, des « soupçons de tricherie » avec des listes électorales « faisant la part belle aux démissionnaires et aux morts ». Il conclut : « Ce triste 10 décembre sonne la fin du grand mouvement de la droite et du centre voulu par Jacques Chirac »

Nicolas Dupont-Aignan, député et président de Debout la France, a jugé que deux choix s’offrent désormais à Laurent Wauquiez : « Rester enfermé dans le politiquement correct en reprenant les thématiques portées par Debout la France tout en écartant d’un revers de la main un quelconque dialogue avec notre famille politique comme avec le Front National. (Ou) franchir le Rubicon et se tourner vers les gaullistes et patriotes (…) afin de proposer un projet alternatif. »

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9 décembre 2017 6 09 /12 /décembre /2017 19:55

Ce Samedi 09 Décembre 2017 a eu lieu le marché de Noël à Eppeville (Somme).

Marché de Noël
Marché de Noël
Marché de Noël
Marché de Noël
Marché de Noël
Marché de Noël
Marché de Noël
Marché de Noël
Marché de Noël
Marché de Noël
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Marché de Noël
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9 décembre 2017 6 09 /12 /décembre /2017 07:04
«Ras le bol!»: Des adhérents Les Républicains témoignent avant l'élection de leur chef

TEMOIGNAGES Des adhérents du parti Les Républicains confient une lassitude, voire une incompréhension face aux orientations du mouvement de droite…

Laurent Wauquiez, candidat à la présidence du parti Les Républicains, de dos, lors d'une réunion publique à Arcachon le 23 novembre 2017

  • Les adhérents du parti Les Républicains sont appelés à voter pour élire, dimanche, le chef de leur mouvement.
  • Si 234.000 adhérents sont à jour de cotisation, seuls 50.000 à 70.000 votants sont attendus.
  • Les témoignages envoyés à 20 Minutes révèlent une lassitude des encartés LR, parfois une incompréhension quant à la stratégie du candidat favori Laurent Wauquiez.

Les messages s’alignent et les mots tournent en boucle : « déception », « lassitude », voire de temps en temps « inquiétude »… Depuis plusieurs jours, les messages reçus par 20 Minutes à la suite d'un appel révèlent un certain malaise des personnes encartées au parti Les Républicains. Après la défaite à la présidentielle puis aux législatives face au parti LREM, les adhérents du parti de droite sont appelés à élire dimanche leur président.  Florence Portelli, Maël de Calan et Laurent Wauquiez​​​ sont candidats, le président de la région Auvergne-Rhône Alpes étant largement favori. Un éventuel second tour est programmé le 17 décembre.

>> A lire aussi: Election du président LR: Les grandes questions avant le scrutin

Militant depuis 2014 à Roubaix, Amine Elbahi opte pour un choix radical après avoir vu Laurent Wauquiez en meeting à Lille lundi : « Je fais clairement le choix de ne pas ré-adhérer aux Républicains qui n’a désormais de Républicains que le nom. » Les orientations du mouvement et le discours du candidat favori sont à l’origine de ce départ. « La droite identitaire de Laurent Wauquiez est dangereuse pour la France », affirme Amine Elbahi, ajoutant : « Le discours de Laurent Wauquiez, c’est celui de Marine Le Pen car, idéologiquement, il est déjà rallié avec le Front National ». Se référant à la figure de Philippe Séguin, le vingtenaire dit croire à la droite « qui a le sens de l’État et des institutions, des affaires européennes et sociales : une droite clairement humaniste et sociale. »

« Ras le bol du triptyque fiscalité - immigration - sécurité »

Philippe B., habitant la Marne, fait lui aussi le choix de rendre sa carte. « Adhérent depuis de nombreuses années » et « ancien soutien de Nicolas Sarkozy en 2007 », l’homme se dit déboussolé face aux différences idéologiques entre les représentants de LR. « L’éclatement est proche », avance l’homme qui se dit « résolument à droite, mais pas chez Wauquiez en tout cas ». Cet ancien encarté ira peut-être dans un autre parti… ou pas. « J’attends, pour m’engager quelque part, de trouver un parti de centre droit efficace et ouvert », dit-il encore.

>>A lire aussi: Présidence de LR: Ils ne soutiendront pas Laurent Wauquiez (mais ils ne sont pas nombreux)

Malaise toujours pour Kévin Duvivier, qui a plusieurs charges au sein du parti. « Adhérent LR depuis 2013, membre du conseil départemental LR de Seine-Maritime et conseiller national », le jeune homme répète un mot : « ras bol ». « Ras le bol de voir la droite courir derrière le FN. Ras le bol de voir une certaine droite s’opposer farouchement aux réformes faites par le gouvernement alors qu’elle les a défendues pendant 10, 20 ans et même pendant la campagne de François Fillon », tranche le jeune homme. Il déplore que son parti « se sépare de l’idée européenne, s’éloigne de questions telles que l’écologie, la culture (ras le bol du triptyque fiscalité - immigration - sécurité) », ajoute-t-il. « Ras le bol aussi de voir la droite se séparer de personnes comme Edouard Philippe, Premier Ministre… de droite ! Si elle ne change pas la droite va dans le mur, et va disparaître comme le PS ! », pronostique le jeune homme en colère.

Choix de Laurent Wauquiez « sans état d’âme »

« Être de droite ou de gauche, en 2018 n’a plus aucun sens. LREM l’a bien compris et c’est pour cela qu’elle a le vent en poupe et séduit », analyse Pierre*, un autre adhérent. Celui-ci estime que « le conservatisme à droite est sa grande faiblesse ». Faisant le choix de la candidate Florence Portelli « élue fort sympathique, qui a une approche plus ouverte sociale de la politique », il précise cependant que ce choix est « sans adhésion absolue ».

>> A lire aussi: Les Républicains: Alain Juppé votera (à titre personnel) Maël de Calan

Une candidate à l’opposé du choix Marje*, autre lecteur de 20 Minutes à avoir répondu à notre appel. Affirmant voter dimanche pour Laurent Wauquiez « sans état d’âme », il espère « que nous serons nombreux à le faire pour retrouver une droite capable d’exercer à nouveau le pouvoir et de nous éviter les aventures populistes et les dérives du communautarisme ». Gilbert G., lui, ira « bien sûr » voter. « Je voterai Wauquiez car il me paraît le seul apte à porter les intérêts de la droite républicaine », estime cet internaute sur notre page Facebook.

Axel, militant depuis deux ans à LR en Occitanie, ira lui aussi voter. Selon cet étudiant, « cette élection est pour moi une chance unique de montrer que notre mouvement est le plus démocratique de France », dit-il en référence à Christophe Castaner adoubé à la tête de LREM par Emmanuel Macron. « Notre pays a besoin d’un cap clair et précis pour le futur et qu’il devra relever les vrais défis de demain », avance le jeune homme.

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8 décembre 2017 5 08 /12 /décembre /2017 15:18

Association Jean-Luc François, Directeur Général Fondateur.

2017, l'Association Jean-Luc François crée le premier atelier coopératif des métiers de la mode et du textile à HAM (Somme) intégrant pleinement son engagement social et solidaire à travers le développement d'un modèle d'activités innovent, la réimplantation durable d'une production Française sur le territoire des Hauts de France et la revitalisation des centres villes.

L'atelier coopératif Jean-Luc François se traduit par la mise en place d'un atelier ouvert ancré dans le territoire de la Somme.

(Fablab, espace exposition, formation, atelier de production mutualisé, stages avec les lycées...) pour un impact quin s'étend à l'échelle des Hauts de France.

 

Les métiers techniques de la mode sont l'héritage de savoir-faire français. Ils sont peu connus du grand public et offrent pourtant une palette très large de métiers.

L'industrie de la mode et du textile est un secteur clé de l'économie francilienne. Plus de 2 000 entreprise qui génèrent 20 000 emplois sont installées dans la région, principalement Aubervillers, Pantin et Montreuil.

Ce secteur représente un potentiel de développement économique et territorial significatif et ces métiers une alternative pertinente.

Ma transmission de ces métiers d'excellence participe à préserver le savoir-faire et favorise de surcroît l'égalité des chances et la cohésion sociale.

Jean-Luc François emploie des personnes issues de Pôle Emploi pour une formation de trois mois. Pour ces personnes, des chances sont possibles pour exercer ce métier grâce à Jean-Luc François.

Création d'un atelier de couture à HAM (Somme)
Création d'un atelier de couture à HAM (Somme)
Création d'un atelier de couture à HAM (Somme)
Création d'un atelier de couture à HAM (Somme)
Création d'un atelier de couture à HAM (Somme)
Création d'un atelier de couture à HAM (Somme)
Création d'un atelier de couture à HAM (Somme)
Création d'un atelier de couture à HAM (Somme)
Création d'un atelier de couture à HAM (Somme)
Création d'un atelier de couture à HAM (Somme)
Création d'un atelier de couture à HAM (Somme)
Création d'un atelier de couture à HAM (Somme)
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8 décembre 2017 5 08 /12 /décembre /2017 09:32
Les Républicains: Juppé votera (à titre personnel) Maël de Calan

POLITIQUE A cinq jours de l’élection à la présidence des Républicains, le candidat Maël de Calan et son « mentor » Alain Juppé se sont affichés ensemble. Et le maire de Bordeaux lui a enfin apporté son soutien…

Alain Juppé et Maël de Calan, le 5 décembre 2017 à Bordeaux lors d'une conférence de presse commune.

Parmi tous ses déplacements prévus « dans la dernière ligne droite » avant l'élection à la présidence des Républicains, celui à Bordeaux ce mardi soir « est celui auquel [il] tient le plus. » Et pour cause. Le candidat Maël de Calan, ancien porte-parole d'Alain Juppé, attendait avec impatience un signe clair de soutien de la part du maire de Bordeaux, présenté parfois comme le « mentor » du jeune candidat (36 ans).

Alain Juppé et Maël de Calan (Les Républicains) à Bordeaux le 5 décembre 2017.
Alain Juppé et Maël de Calan (Les Républicains) à Bordeaux le 5 décembre 2017. - M.Bosredon/20Minutes

Ce signe est enfin venu. « J'ai suivi avec intérêt sa campagne, je n'ai pas oublié non plus le soutien sans faille qu'il m'a apporté durant la primaire de la droite et du centre, a tout d'abord rappelé Alain Juppé dans une conférence de presse commune avec Maël de Calan, en amont de son meeting au Bouscat. J'aime ses idées. C'est un homme de droite humaniste, européen, qui combat vigoureusement les idées du FN. Comme je l'ai dit, je ne fais pas campagne dans le cadre de la présidence à LR, mais mon choix est fait et à titre personnel j'apporterai mon suffrage à Maël de Calan. » Il ne lance toutefois pas d'appel aux électeurs des Républicains.

«Vous incarnez cette exigence, cette éthique, ce sérieux»

Maël de Calan avait auparavant rappelé qu'il défendait « une droite profondément européenne, libérale, humaniste » et que son « combat » portait sur « le renouvellement des pratiques politiques, qui consiste à vouloir mettre au sein des Républicains plus de bonne foi, plus de sérieux, plus d'exigence, plus d'éthique. »

Maël de Calan (Les Républicains) à Bordeaux le 5 décembre 2017.
Maël de Calan (Les Républicains) à Bordeaux le 5 décembre 2017. - M.Bosredon/20Minutes

Il a longuement souligné les qualités du maire de Bordeaux. « Pour tous ceux qui ont eu la chance de faire leur apprentissage politique auprès d'Alain Juppé, ils savent que vous incarnez à la fois cette exigence, ce sérieux, cette éthique, ce sens de l'Etat que vous nous avez transmis. Pour ces raisons à la fois idéologiques et de comportement politique, ma présence ce soir à Bordeaux était naturelle, et je suis profondément heureux que vous soyez là. »

>> A lire aussi : Appel à témoignages: Adhérents du parti Les Républicains, dites-nous votre humeur

Juppé: «Il ne suffit pas de récuser toute alliance avec le FN, il faut le combattre»

Les Républicains élisent leur président le 10 décembre, avec un éventuel second tour le 17 décembre. Trois candidats sont en lice : Florence Portelli, Maël de Calan et Laurent Wauquiez.

>> A lire aussi : Le pouvoir, l'Europe, la droite… La preuve par cinq que Laurent Wauquiez sait retourner sa veste

Alain Juppé, qui combat la ligne politique de Laurent Wauquiez, n'a pas hésité à lui glisser un petit tacle : « Il ne suffit pas de récuser toute alliance avec le Front National, il faut combattre les idées du FN. »

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8 décembre 2017 5 08 /12 /décembre /2017 09:18
LR : « Il n'y aura plus d'alliance » avec l'UDI si Wauquiez est élu

Le premier tour de l'élection pour la présidence des Républicains doit se tenir dimanche. Jean-Christophe Lagarde en a averti son parti.

Christophe Lagarde propose l'organisation d'« états généraux de reconstruction du centre et de la droite ».
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8 décembre 2017 5 08 /12 /décembre /2017 07:13
Popularité : Nadine Morano, personnalité politique la plus détestée des Français
Popularité : Nadine Morano, personnalité politique la plus détestée des Français
 

Selon l'institut YouGov, Nadine Morano est la personnalité politique la plus détestée des Français, juste devant Marine Le Pen, Manuel Valls et Jean-François Copé.

L'ex-ministre sarkozyste occupe cette première place, peu enviée, pour la première fois depuis la création de ce baromètre en 2012.

Autre nouveauté : Anne Hidalgo rejoint le "flop 5" des personnalités les moins aimées et "devance" désormais Florian Philippot et Najat Vallaud-Belkacem. "En dépit de la désignation de Paris pour organiser les Jeux olympiques de 2024, la maire de la capitale paye une politique très clivante", explique le Huffington Post qui a publié le sondage avec CNews ce jeudi 7 décembre. "Ses choix, notamment en matière de transport, sont totalement vilipendés par les sympathisants de droite".

ÉDOUARD PHILIPPE DEVANCE EMMANUEL MACRON

Englué à la dernière place depuis les législatives, Manuel Valls "remonte un petit peu malgré les polémiques qui l'opposent à Jean-Luc Mélenchon et Edwy Plenel sur fond de laïcité".
 

Les cotes de popularité d'Emmanuel Macron (+3) et d'Édouard Philippe (+4) sont, elles, en nette hausse sur un mois. Le chef de l'État obtient 35% d'opinions favorables, mais une majorité de Français (50%, -5) porte toujours un jugement défavorable sur son action et 15% ne se prononcent pas, un peu plus de six mois après son entrée en fonction.

Avec 36% d'opinions favorables, le Premier ministre devance désormais le chef de l'État, et le pourcentage de Français qui jugent défavorablement son action est en baisse de 3 points à 43%, selon ce sondage. La popularité du gouvernement est proche de celle du couple exécutif avec 32% (+2) d'avis favorables, mais une majorité de personnes interrogées (53%, -3) reste défavorable à son action.

Pour seulement 29% (=) des Français, le gouvernement a "une bonne gestion" de l'économie, contre 51% (-2) d'un avis contraire. En politique, le principal sujet de préoccupation des Français reste le chômage et l'emploi (24%, +1), devant la protection sociale (16%, +1) et l'immigration (16%, +2) et l'insécurité (8%, -3).

Enquête réalisée en ligne du 28 au 30 novembre auprès de 1.006 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d'erreur de 1,4 à 3,1 points.
 
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8 décembre 2017 5 08 /12 /décembre /2017 07:07
Les Républicains : Bertrand estime qu'"il aurait pu gagner" face à Wauquiez
Les Républicains : Bertrand estime qu'"il aurait pu gagner" face à Wauquiez
 

Xavier Bertrand estime qu'il "aurai pu gagner" la présidence des Républicains s'il s'était présenté face à Laurent Wauquiez. Pour le président de la région Hauts-de-France, "l'affrontement" entre les deux hommes "aura lieu" avant 2022.

"Si j'y étais allé, on aurait rejoué Copé-Fillon (élection fratricide de 2012, NDLR).

Mais j'aurais pu gagner. Et je pense que la victoire était aussi possible pour Valérie Pécresse", a déclaré Xavier Bertrand dans une interview publiée ce jeudi 7 décembre dans Le Point.

"IL NOUS AURA TOUJOURS DANS LE PAYSAGE, VALÉRIE PÉCRESSE ET MOI"

"À vaincre sans péril, Laurent Wauquiez triomphera sans gloire. Mais ne vous inquiétez pas, d'ici quatre ans, l'affrontement aura lieu. Laurent Wauquiez nous aura toujours dans le paysage, Valérie Pécresse et moi", a ajouté l'ancien ministre du Travail.

En juin, Xavier Bertrand avait annoncé qu'il ne briguerait pas la présidence du parti face à Laurent Wauquiez, suggérant ce rôle à Valérie Pécresse, laquelle ne s'est pas présentée et a fondé son propre mouvement, Libres!. Les deux présidents de région ont critiqué la ligne politique de Laurent Wauquiez, accusé de courir après l'extrême-droite.

Laurent Wauquiez est, face à ses concurrents Florence Portelli et Maël de Calan, le grand favori de l'élection pour la présidence des Républicains dont le premier tour a lieu dimanche. "La droite croit qu'elle a perdu pour des raisons conjoncturelles, à cause des affaires, mais elle a aussi perdu pour des raisons structurelles", a jugé Xavier Bertrand.

 
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Présentation

  • : Le blog de Zuwala Richard
  • : Prévention et santé.Insertion de personnes en détresse sociale. Intervenant sur les problèmes d'addictologie.(alcool, drogue) Photographe amateur. Membre du bureau départemental et national fédération UDI de la Somme Président de la Croix Rouge locale de Ham (80) J'ai écrit un livre paru en 2005 *Une Vie Autre et Nouvelle* édité par la Société des Écrivains. Président de la Croix Rouge de Ham (Somme) Membre du Conseil d'Administration Alcool Assistance (Somme) Secrétaire adjoint du bureau départemental de la Somme Membre du CCAS de HAM Somme
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