RECAP' « 20 Minutes » compile pour vous les infos qu'il ne faut pas manquer ce matin dans votre Bulletin d'information matinal (BIM)...
Vous avez manqué les infos de ce début de matinée ? On vous a concocté un récap' pour vous aider à y voir plus clair.
Ce qu'il faut retenir de l'interview d'Emmanuel Macron
Le président de la République est apparu plus confiant que jamais dans un entretien diffusé dimanche sur France 2, coïncidant avec une nette embellie dans les sondages. « Sachez que je suis pleinement déterminé et à la tâche, chaque jour, chaque heure, pour faire tout ce que j’ai promis de faire », a déclaré aux Français Emmanuel Macron.
Le chef d’Etat français a commenté différents thèmes allant de sa popularité (« Je fais ce que j’ai dit. Ça étonne peut-être, ça en contrarie d’autres, ça fait peut-être longtemps que ce n’était pas arrivé ») à la réforme du travail (« Sur le sujet du chômage, j’ai pris mes responsabilités. J’ai fait tout de suite la réforme la plus importante qui avait été évitée en France depuis vingt ans »), en passant par Daesh (« Le 9 décembre, le Premier ministre irakien (Haider al-Abadi) a annoncé la victoire face à Daesh et je pense que, d’ici mi, fin février, nous aurons gagné la guerre en Syrie »).
Donald Trump assure ne pas vouloir la tête du procureur spécial Mueller
Après avoir renvoyé brutalement l’ancien directeur du FBI James Comey en mai, les démocrates redoutent de voir Donald Trump virer Robert Mueller, le procureur spécial chargé de l’enquête sur une éventuelle collusion entre ses proches et la Russie.
Le procureur a récemment inculpé plusieurs proches de Donald Trump, parmi lesquels le général Michael Flynn, qui fut son conseiller à la sécurité nationale.
Interrogé par les médias américains sur son intention de limoger le procureur spécial, Donald Trump a simplement répondu « non ». Depuis plusieurs semaines, l’entourage du président américain et certains élus républicains mettent en doute la crédibilité et l’impartialité de l’enquête de Robert Mueller, réclamant par ailleurs la fin d’une enquête qui, selon eux, n’aboutira de toute façon à rien.
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Peter Carr, porte-parole du procureur spécial, a formellement contesté toute irrégularité, assurant que l’enquête était menée dans le strict respect de la loi.
Le village de Saint-Féliu-d'Aval se recueille dans la douleur après l'accident de Millas
Après la violente collision entre un autocar scolaire et un train régional ayant fait cinq morts jeudi parmi les jeunes passagers du bus, une messe a été dite pour les victimes ce dimanche et un rassemblement a eu lieu au village de Saint-Féliu-d’Avall (Pyrénées-Orientales).
L’émotion est immense à quelques jours des fêtes de Noël. Sophie Ringue est venue avec un bouquet de fleurs : « Y’a pas de mots. Toute la région est touchée. Je rends hommage à tous ces enfants. Ça me fait vraiment très mal au cœur. Ça pourrait être mon fils. J’ai quatre enfants. Je ne pourrais pas accepter, c’est très, très dur pour les parents ».
L’enquête se poursuit pour déterminer la position des barrières du passage à niveau où Alan, Loïc, Ophélia, Yonas, Diogo ont perdu la vie. Selon le procureur de Marseille, Xavier Tarabeux, en charge des investigations, des témoignages indiquent que « la barrière était fermée et d’autres qu’elle était ouverte ».