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26 mai 2015 2 26 /05 /mai /2015 06:21
Nos amis les animaux
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26 mai 2015 2 26 /05 /mai /2015 06:17

La cigarette électronique est-elle réellement inoffensive ?

26-06-2008 12:03 - 12774 visites - Société, Education, Religions - Ecrit par MICHEL

La e-cigarette ou cigarette électronique a le vent en poupe. Un véritable business, qui ne cesse d'alimenter les forums, pour affirmer qu'elle ne présente aucun danger pour l'organisme (..).

Pourtant aucun test de laboratoire, concernant l'inhalation de propylène de glycol (par voie respiratoire) n'a été réalisé. Un produit qui laisse bien des interrogations.

En parcourant les forums, on se rend trés vite compte de la désinformation. Entre les revendeurs, prêchant la bonne parole, business oblige (..). Les fervents défenseurs des lobbys du tabac, n'apportant strictement rien de concret (..).

En quoi consite la cigarette électronique:

Une alternative sans danger (!), non cancérigène et naturelle (..).

Elle contient de la nicotine (optionnelle), un arome artificiel de tabac et de propylène de glycol. L'utilisateuraspire, de la un microprocesseur active un atomiseur, qui mélange le liquide avec l'air inspiré. Ce mélange est propulsé sous forme de vapeur et la il est aspiré par l'utilisateur. L'évaporatioçn de glycol donne l'impression d'une véritable fumée produite par une cigarette. L'appareil ne simule pas uniquement l'acte de fumer, mais délivre le mélange vaporisé à la température de 50% à 60%, tout à fait comparable à la combustion d'une cigarette.

Le propylène de glycol n'a pas subi d'études poussées sur son inhalation, en laboratoire. Finalement on vend un produit, sans savoir réellement les conséquences possibles sur l'organisme. Le glycol est utilisé dans nombre de produits, de l'antigel en passant par le cosmétique. Des études de l'INRS ont démontré que ce produit était peu toxique chez l'homme, par contre par inhalation, rien ne démontre de son inoffensivité. En parcourant la toile, je suis tombé par hasard sur un site médical, et la je dois bien reconnaitre que ce n'est pas le même son de cloche.

http://www.caducee.net/DossierSpecialistes/toxicologie/ether-glycol.asp

Certains jugeront qu'il vaut mieux ingérer un produit toxique, que les nombreux produits toxiques contenus dans les cigarettes (..). Un mal pour en soigner un autre, voila ce que je pourrai conclure. Je ne cherche pas a prétendre que ce produit est dangereux, je n'en ai pas les compétences, mais par contre il vaut mieux s'abstenir de prendre trés au sérieux la publicité de ces nouveaux lobbys, qui ne peuvent nous fournir de réelles études sur la non-toxicité de leurs produits.

Certains médecins commencent a lancer des avertissements concernant la cigarette électronique. De toute les façons, on ne peut que douter, Du moment qu'il y a une combustion, la gorge, les cordes vocales subiront les mêmes méfaits qu'avec le tabac. Devant le flou qui entoure la e-cigarette, on ne peut que rester prudent et attendre le verdict d'études poussées (..).

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26 mai 2015 2 26 /05 /mai /2015 05:45

Elle devait s'implanter derrière la gare du Nord à Paris, sur un terrain prêté par la SNCF, au grand dam de certains riverains. La première «salle de shoot» prévue en France verra finalement le jour sur le site de l'hôpital Lariboisière, 200 mètres plus loin.

Après plusieurs mois de controverses, le projet d'expérimentation d'une «salle de consommation à moindre risque», qui devait ouvrir au 39, boulevard de la Chapelle, dans le nord de la capitale, est «abandonné» pour «des problèmes d'enclavement et de difficultés d'accès», a expliqué à l'AFP le maire du Xe arrondissement, Rémi Féraud.

«La salle sera déplacée de 200 mètres», assure l'élu socialiste. Si l'emplacement définitif au sein de l'hôpital Lariboisière n'est pas encore décidé, il évoque «deux ou trois lieux possibles», envisagés avec la direction et l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP).

«Le projet sera adossé à l'hôpital», a ajouté Bernard Jomier, adjoint à la Santé de la mairie de Paris, précisant que «l'accès ne se fera pas par la porte principale, mais par le côté».

Pour l'association Gaïa, qui gèrera la salle, cet emplacement «permet de remplir les objectifs, en termes de superficie et de localisation, à proximité du quartier de la gare du Nord, fortement impacté par les problèmes de drogue».

«On aura une ouverture sur rue, pour faire notre travail de proximité auprès des usagers de drogue» qui «ne passeront pas par le guichet ni les couloirs de l'hôpital», explique à l'AFP le docteur Thomas Dusouchet, coordinateur de l'association.

L'ancienne implantation prévue, présentée en mai 2013 comme «la plus adaptée» pour accueillir des toxicomanes majeurs précarisés et leur permettre de consommer leurs drogues sous supervision de personnels de santé et réduire les troubles à l'ordre public, était contestée par des riverains.

Les habitants de l'immeuble à l'adresse du site retenu avaient manifesté plusieurs fois.

- 'Problématique de santé publique' -

Le changement de lieu est donc «une bonne nouvelle» pour Berthe Desvages, résidente de l'immeuble, dont les fenêtres sont couvertes de «Non» à cette expérimentation. «On a déjà eu des soucis avec des toxicomanes qui venaient dans l'immeuble pour trouver la salle de shoot. Certains sont montés jusqu'au sixième étage», dit-elle.

Avec l'installation ces derniers mois d'un campement sauvage de centaines de migrants sous les rails du métro voisin, en face du site initial, «l'aberration» était à son comble, souligne pour sa part Marpessa Rodolph, une autre riveraine.

«Le campement a beaucoup dégradé l'environnement», reconnaît Rémi Féraud. «Ce n'étaient pas des conditions optimales», ajoute Bernard Jomier.

Cette décision est «la reconnaissance par la mairie que c'était une erreur d'implanter cette salle en ville, comme nous le disions», réagit Philippe Gougeon, député UMP de Paris. Mais la salle «va amener un flux de toxicomanes» autour de l'hôpital, prévient-il, propice à créer «un marché de la drogue».

Pour Déborah Pawlik, élue UMP de l'arrondissement, ce déplacement «ne règle pas le problème de fond»: «cela n'aidera pas les toxicomanes à sortir de la dépendance».

Le président de l'association Parents contre la drogue Serge Lebigot souligne que «l'hôpital Lariboisière est celui qui accueille le plus de patients aux urgences», s'inquiétant lui aussi des «risques d'agressions» et «du trafic qui va s'installer autour».

Un trafic déjà très présent avec des toxicomanes de rue utilisant les sanisettes comme salles de shoot, répond le maire d'arrondissement. «Les usagers sont déjà là, c'est pas la salle qui les attire», renchérit Thomas Dusouchet, de l'association Gaïa.

L'ouverture de la salle, conditionnée au vote d'une loi au Parlement, ne devrait pas intervenir avant début 2016, estime Bernard Jomier.

Début avril, l'Assemblée nationale a adopté en première lecture le principe des «salles de shoot», pendant six ans maximum. Le texte devrait être examiné à l'automne au Sénat.

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25 mai 2015 1 25 /05 /mai /2015 17:33

Et si c’était lui le troisième homme du congrès fondateur du nouvel l’UMP prévu le 30 mai prochain à la Villette ? Jean-François Copé ne devrait pas y prendre la parole, mais il sera bien là, dans les travées, un an quasi-jour pour jour depuis sa démission forcée à la tête du parti sur fond d’affaire Bygmalion. « On attend beaucoup Nicolas Sarkozy et Bruno Le Maire à ce rendez-vous, mais oui, la présence de Jean-François Copé sera un moment fort de ce congrès, note un de ses proches. On parle beaucoup de lui ces dernières semaines. »

Des cours à Sciences-Po et un blog ouvert

La fin d’une traversée du désert ? « Seuls les médias utilisent cette expression, reprend ce même proche. Mais Jean-François Copé n’est pas resté inactif depuis le 27 mai. » Il s’est au moins imposé une « cure silence » depuis sa démission. « J’ai entrepris de travailler loin des caméras ce qui, pour moi, est un effort que vous ne pouvez imaginer », glissait-il avec humour le 20 mai dernier, lors du dernier débat organisé par Génération France, son micro-parti, sur le thème de la France post-Charlie.

Cette année passée dans l’ombre n’est pas sans rappeler « l’exil » au Canada d’Alain Juppé en 2005, après sa condamnation à l’inéligibilité dans l’affaire des emplois fictifs à la Mairie de Paris. Certes, Jean-François Copé, qui reste député-maire de Meaux (Seine-et-Marne), n’a pas quitté la France. Mais comme son prédécesseur à la présidence de l’UMP, il s’est fait professeur. Il a donné des cours en anglais à des étudiants de Sciences-Po Paris, de janvier à mai, « sur les enjeux juridiques, politiques et économiques d’une gouvernance mondiale ».

« Moins dans le commentaire, plus dans le débat de fond »

Comme Alain Juppé, Jean-François Copé a aussi ouvert un blog, en mars dernier, intitulé « Pour un sursaut français ». Il revient sur ces derniers déplacements en province, sur la victoire de David Cameron aux législatives en Grande-Bretagne ou même sur la dernière pique lancée à son encontre par Sophie Marceau. « Il est moins dans le commentaire politique et plus dans le travail de fond », indique Jean-Pierre Lecoq, maire UMP du 6e arrondissement.

Un constat partagé par Brigitte Küster, maire UMP du 17e arrondissement. « Cette pause imposée va le rendre plus fort. Il a pu revenir aux fondamentaux, s’entourer des personnes qui lui sont vraiment proches, prendre le temps de la réflexion. » Le blog, les ateliers thématiques et les débats de Génération France, relancés en septembre, en sont des exemples.

« Il continue aussi de réunir des parlementaires chaque mardi matin à l’Assemblée nationale pour parler de politique nationale, poursuit Brigitte Küster. Jean-François Copé est un homme d’action et de réflexion qui lance beaucoup de débats. J’ai rarement vu un tel décalage pour un homme politique entre sa caricature et l’homme qu’il est réellement. »

Un retour en force en janvier ?

Cette traversée du désert devrait durer quelques mois encore. « Ce retour sera progressif, annonce Michèle Tabarot, députée des Alpes-Maritimes, elle aussi membre des fidèles de Jean-François Copé. Il réunira ses proches à Châteaurenard le dernier week-end d'août, comme il avait l’habitude de le faire. »

Un livre est aussi annoncé en janvier 2016. Il sera le fruit de ses réflexions sur l’année écoulée. Surtout, il envisage de se présenter à la primaire de son parti en 2016 en vue des présidentielles de 2017. Sa candidature ne dépend pas que de lui, rappelle le Lab d’Europe 1. Le député-maire de Meaux reste mis en examen pour « abus de confiance » dans l’enquête sur le paiement par le parti des pénalités infligées à Nicolas Sarkozy après la présidentielle.

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24 mai 2015 7 24 /05 /mai /2015 19:51
Au mois de mai les fleurs et les feuilles s'épanouissent
Au mois de mai les fleurs et les feuilles s'épanouissent
Au mois de mai les fleurs et les feuilles s'épanouissent
Au mois de mai les fleurs et les feuilles s'épanouissent
Au mois de mai les fleurs et les feuilles s'épanouissent
Au mois de mai les fleurs et les feuilles s'épanouissent
Au mois de mai les fleurs et les feuilles s'épanouissent
Au mois de mai les fleurs et les feuilles s'épanouissent
Au mois de mai les fleurs et les feuilles s'épanouissent

Au mois de mai les fleurs et les feuilles s'épanouissent

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24 mai 2015 7 24 /05 /mai /2015 09:15

Les souhaits d'alliance UMP-FN pour les élections locales ont chuté de 20 à 25 points depuis l'année dernière chez les sympathisants des deux formations, selon un sondage Ifop réalisé pour Atlantico publié samedi.

30% des sympathisants de l'UMP se déclarent favorables à des accords électoraux avec le FN, suite à la mise à l'écart de Jean-Marie Le Pen, pour des élections locales (municipales, départementales, régionales). Ils étaient 55% en mars 2014. Les sympathisants qui y sont opposés sont passés de 45% en 2014 à 70% en mai de cette année.

Le FN, «un rival potentiel qui a une volonté de manger ou de casser la droite»

De même, 42% des sympathisants du FN répondent favorablement à la possibilité de tels accords électoraux contre 62% l'année dernière. Les personnes hostiles à ces accords sont passées quant à elles de 38% l'année dernière à 58% en 2015.

«Dans les deux familles, on observe une baisse de 20 à 25 points depuis les dernières municipales (de mars 2014) et il faut donc bien comprendre ce qu'il s'est passé, car cela n'est pas uniquement du au psychodrame de la famille Le Pen», analyse Jérôme Fourquet, directeur du département opinion publique à l'Ifop.

«Pour l'électorat de droite, le FN n'est plus perçu comme une force d'appoint pour défaire la gauche, mais comme un rival potentiel qui a une volonté de manger ou de casser la droite», ajoute-t-il.

Enquête menée auprès d'un échantillon de 338 sympathisants de l'UMP et de 287 sympathisants du FN, extrait du cumul de deux échantillons correspondant à un total de 2.016 personnes, représentatif de la population française. L'enquête a été réalisée du 13 au 20 mai.

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24 mai 2015 7 24 /05 /mai /2015 09:08

30% au premier tour, de quoi consoler Marine Le Pen de ses déboires familiaux. Si le premier tour de l'élection présidentielle avait lieu ce dimanche, avec autant de candidats qu'en 2012, la présidente du Front national obtiendrait 30%, devant Nicolas Sarkozy à 25% et François Hollande à 17%, selon un sondage Odoxa pour Le Parisien. Mais si le candidat de la droite était Alain Juppé, c’est lui qui arriverait en tête avec 34%, devant Marine Le Pen à 31% et François Hollande à 16%.

François Hollande toujours perdant

D’après ce sondage, ce serait Alain Juppé qui l’emporterait sur Nicolas Sarkozy (55-45%) au second tour de la primaire UMP de 2016, même si l'ancien président reste le favori des sympathisants de son parti. Toutefois, 55% des sondés qui «comptent voter à la primaire» voteraient pour l'ex-Premier ministre, contre 45% pour l'ancien président. Le maire de Bordeaux séduit les sympathisants UDI, qui voteraient pour lui à 67%, et les sympathisants de gauche qui sont 91% à le préférer à Nicolas Sarkozy.

En cas de second tour entre Alain Juppé et Marine Le Pen, le maire de Bordeaux l'emporterait avec 67% contre 33% pour la présidente du FN. Nicolas Sarkozy gagnerait lui avec 59% des voix, contre 41% pour Marine Le Pen. Nicolas Sarkozy l'emporterait aussi face à François Hollande, à 58% contre 42%, quand Alain Juppé parviendrait à obtenir 71% des voix contre 29% pour l'actuel chef de l'Etat.

Sondage réalisé les 21 et 22 mai sur internet auprès d'un échantillon représentatif de 911 personnes inscrites sur les listes électorales (méthode des quotas).

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23 mai 2015 6 23 /05 /mai /2015 17:08

Jean-Luc Mélenchon s'adresse aux frondeurs. Le leader du Parti de gauche a lancé un appel vendredi à ceux qui ont fait environ 30% lors du vote des motions du parti socialiste «à changer le pays» en le rejoignant. «Je dis (aux frondeurs) avec 30% vous ne changerez pas le PS, mais avec moi vous pouvez encore changer le pays», a déclaré l'homme politique sur RMC.

«Vous avez essayé, vous l'avez fait loyalement et ça ne donne rien. Vous n'allez pas passer les deux prochaines années à pinailler sur des virgules ou des adjectifs avec quelqu'un qui est très habile et qui a ouvert un chemin politique», a-t-il ajouté en s'adressant aux «frondeurs».

«Nous sommes petits mais vaillants»

«Il y a la naissance d'un nouveau personnage sur la scène politique en France, c'est Jean-Christophe Cambadélis. Ne le prenez pas pour un second rôle. C'est un homme extrêmement habile», a-t-il dit. Selon Jean-Luc Mélenchon, le premier secrétaire du PS «est obligé de soutenir Valls. Sa motion c'est "Valls a raison, Hollande a raison". Ils vont amuser les gens avec "est-ce qu'il y aura une primaire ou pas" et il n'y aura pas de primaire».

Congrès PS: Le gouvernement en a-t-il vraiment fini avec les frondeurs?

Jean-Luc Mélenchon qui a appelé les frondeurs à le rejoindre a cependant tempéré «ce serait parfait mais ils ne le feront pas». «Mais ils pourraient au moins constituer un groupe parlementaire qui dans le débat parlementaire interviendrait d'une manière cohérente», a-t-il ajouté.

«Ne restez pas les deux pieds dans le même soulier à tourner en rond dans la même maison en cultivant les aigreurs, le mal vivre, pendant des mois», a-t-il lancé aux «frondeurs». «Nous nous sommes petits mais vaillants. Qu'est-ce que ça vous coûte de m'aider? La différence est moins grande entre vous et moi qu'entre vous et Valls et Hollande. (...) Aidez-moi, c'est le moment !», a-t-il dit.

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23 mai 2015 6 23 /05 /mai /2015 17:02

Un Français sur cinq (21%) souhaite que François Hollande se présente à l'élection présidentielle de 2017, contre 77% qui ne souhaitent pas, selon un sondage Odoxa pour Le Parisien/i TÉLÉ. Et 2% n'ont pas d'opinion.

>> A lire: Quatre défis à relever avant la bataille présidentielle de 2017

Cette étude montre un léger mieux pour le chef de l'État puisqu'en octobre 2014, ils étaient 15% à appeler de leurs voeux un second mandat présidentiel.

54% des sympathisants de gauche contre l'idée que Hollande soit candidat

54% des sympathisants de gauche ne souhaitent pas que François Hollande soit à nouveau candidat (46% le souhaitent). A droite, ils sont 90% à vouloir que le chef de l'État ne se lance pas dans la course en 2017.

D'autre part, 58% des Français partagent l'idée que «François Hollande est déjà en campagne pour l'élection présidentielle de 2017». 41% sont d'avis contraire (1% sans opinion).

Enquête réalisée les 21 et 22 mai auprès d'un échantillon de Français interrogés par internet. Méthode des quotas.

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22 mai 2015 5 22 /05 /mai /2015 19:59

Au PS, on veut voir la vie en rose. A l’issue du vote des militants, tout le monde semblait ravi. Ceux arrivés en tête, à l’image de Jean-Christophe Cambadélis, premier signataire de la motion A, qui a obtenu la majorité absolue. Mais avec 29% des voix, les frondeurs ne sont pas en reste. Christian Paul et ses amis espèrent toujours peser sur l’orientation du parti. Décryptage.

Une victoire de la majorité

Un caillou de moins dans la chaussure de l’exécutif ? Avec la victoire de la motion A, François Hollande et Manuel Valls ont les coudées franches pour la fin du quinquennat. « C’est la victoire que nous attendions. Christian Paul et ses amis demandaient une clarification, là voilà: plus de 60 % ont validé la ligne du Président, du Premier ministre et du Premier secrétaire », s’est félicité Luc Carvounas, proche de Manuel Valls. « La ligne politique est élue démocratiquement. Elle sera sociale-démocrate pour les trois ans qui viennent. »

Du côté des frondeurs, on reconnaissait la défaite. A demi-mot. « Indiscutablement, on est confronté à un puissant réflexe légitimiste. Cela a conduit beaucoup de militants, pas loin de nos idées, à faire bloc car nous sommes au pouvoir », indiquait Laurent Baumel. « En même temps, nous avons pu défendre nos idées, et faisons un score correct. »

La fin de la fronde ?

Mais pour les frondeurs, le coup est rude. Les opposants souhaitaient faire tomber en dessous des 50 % la motion de l’actuel Premier secrétaire. C’est un échec. « Il faut tourner la page de ce que les médias ont appelé la "fronde parlementaire" », reconnaissait ce matin sur RTL Christian Paul, porte-drapeau de la motion B.

« Les frondeurs doivent reconnaître qu’ils ne représentent qu’une minorité du parti, qui a échoué dans sa volonté de réorienter la politique du gouvernement », développe Luc Carvounas. « L’aile gauche du parti a reculé. Elle obtient le même score qu’au congrès de Toulouse avec Emmanuel Morel, alors qu’elle avait cette fois reçu le soutien de Benoît Hamon, d’Arnaud Montebourg et de leurs amis. C’est une défaite. » En 2012, Emmanuel Morel avait obtenu 13,28 % au premier tour, et 27,48 % au second.

Laurent Beaumel fait, lui, un autre calcul. « Le Congrès n’est pas un référendum, où seul le oui l’emporte et les autres n’ont plus rien à dire. Ce que Christian Paul a voulu dire, c’est que nous devons maintenant travailler pour faire gagner nos positions dans les instances du parti. » Les frondeurs espèrent d’ailleurs trouver des alliés au-delà de leur motion. « Dans la motion A, Martine Aubry et ses amis sont d’accord avec nous. Au bureau national, j’espère que ses proches, dont Jean-Marc Germain, continueront de défendre leurs positions, qui ne sont pas éloignées des nôtres. »

La querelle des chiffres

Les battus du jour l’assurent : cette victoire n’est pas un chèque en blanc signé au gouvernement. Pour preuve, les frondeurs se tournent vers la participation, autour de 55 %. « Elle n’était pas terrible », reconnaît Laurent Baumel. « Mais le problème se situe en amont. Il y a un désintérêt profond et un problème de fonte de nos effectifs. Personne ne se retrouve joyeusement dans le pacte de responsabilité ou la loi Macron. »

« Toutes les votations internes sont à ce niveau. Ce sont à peu près les mêmes chiffres qu’au congrès de Toulouse, alors que ce vote intervient après quelques déboires électoraux. Dans cette période plus compliquée, le résultat est donc engageant », répond Luc Carvounas. Le débat interne, lui, n’est pas fini.

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Présentation

  • : Le blog de Zuwala Richard
  • : Prévention et santé.Insertion de personnes en détresse sociale. Intervenant sur les problèmes d'addictologie.(alcool, drogue) Photographe amateur. Membre du bureau départemental et national fédération UDI de la Somme Président de la Croix Rouge locale de Ham (80) J'ai écrit un livre paru en 2005 *Une Vie Autre et Nouvelle* édité par la Société des Écrivains. Président de la Croix Rouge de Ham (Somme) Membre du Conseil d'Administration Alcool Assistance (Somme) Secrétaire adjoint du bureau départemental de la Somme Membre du CCAS de HAM Somme
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