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28 mars 2017 2 28 /03 /mars /2017 11:52
Le Pen devance légèrement Macron, Fillon reste distancé
 Marine Le Pen lors d\
 

Marine Le Pen lors d'un meeting le 27 mars 2017 aux Sables d'Olonne

 

Présidentielle: Marine Le Pen devancerait Macron au premier tour, avec respectivement 25% et 24%, loin devant Fillon (18%), selon un sondage

Marine Le Pen devancerait d'un point Emmanuel Macron au premier tour de l'élection présidentielle, avec respectivement 25% et 24%, loin devant François Fillon (18%), selon un sondage Ipsos Sopra Steria diffusé mardi.

Derrière le trio de tête, les Français interrogés placeraient Jean-Luc Mélenchon (14%), Benoît Hamon (12%) et Nicolas Dupont-Aignan (3,5%). Les autres candidats recueilleraient 1% ou moins, selon cette enquête réalisée pour France Télévisions et Radio France. 

Au second tour, en cas de duel Le Pen/Macron, le candidat centriste l'emporterait largement sur la présidente du Front national (62% contre 38%). 

A moins de quatre semaines du premier tour, les hésitants sont encore nombreux: 41% des personnes se disant certaines d'aller voter peuvent encore changer leur choix. Elles sont 52% parmi celles ayant l'intention de voter Benoît Hamon, 47% parmi les électeurs d'Emmanuel Macron et 40% chez ceux de Jean-Luc Mélenchon. En revanche, les soutiens de Marine Le Pen et François Fillon sont à peine 18% et 16% à déclarer pouvoir changer d'avis.

Sondage réalisé par internet selon la méthode des quotas du 25 au 27 mars auprès d'un échantillon de 1.005 personnes représentatives de la population française de 18 ans et plus.

 
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28 mars 2017 2 28 /03 /mars /2017 11:47
Présidentielle 2017 : la sarkozyste Marie-Anne Montchamp rejoint Macron
Présidentielle 2017 : la sarkozyste Marie-Anne Montchamp rejoint Macron

Marie-Anne Montchamp et François Fillon, à l'Elysée en 2011 (archive).

 

Après les écologistes, les socialistes, les centristes et Les Républicains, Emmanuel Macron élargit sa galaxie aux sarkozystes. L'ancienne secrétaire d'État de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy, Marie-Anne Montchamp a annoncé ce mardi sur les réseaux sociaux et franceinfo son ralliement au candidat d'"En Marche !".

"J'ai fait le choix de soutenir Emmanuel Macron.

Il a le projet le plus innovant. Je continuerai à porter mes combats auprès de lui. (...) Le rassemblement derrière Emmanuel Macron est en marche. Il se poursuivra", a tweeté Marie-Anne Montchamp, qui occupait le poste de secrétaire d'État au ministère des Solidarités et de la Cohésion sociale sous le gouvernent Fillon. Elle devient la première sarkozyste à rejoindre l'ex-ministre de l'Economie.
 



DÉPART DU PARTI LES RÉPUBLICAINS

"Par loyauté à notre famille politique, j'ai tout naturellement suggéré à François Fillon (...) d'accorder une attention soutenue à la situation des plus fragiles et parmi eux à nos compatriotes handicapés. Manifestement son choix politique, comme le montre son programme, ne le porte pas vers la question sociale", a-t-elle notamment justifié dans un communiqué.



Marie-Anne Montchamp, qui avait soutenu Nicolas Sarkozy lors de la primaire, a également annoncé qu'elle quittait le parti Les Républicains, estimant que "(son) action est aujourd'hui impossible au sein de ce qu'est devenue notre famille politique".
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28 mars 2017 2 28 /03 /mars /2017 11:42

Les #5 infos de la présidentielle aujourd'hui

 
Penelope Fillon convoquée par les juges, ralliement sarkozyste pour Macron, 40% des Français prêts à voter blanc...

Grands discours, petites phrases, propositions-chocs ou anecdotes… Chaque jour, jusqu'au 7 mai 2017, date du second tour de l'élection présidentielle, franceinfo résume ce qu'il ne faut pas rater de l'actualité de la campagne. Voici l'essentiel à retenir de mardi 28 mars.

#1 Penelope Fillon convoquée en vue d'une mise en examen

Après François Fillon et son ex-suppléant à l'Assemblée nationale, Marc Joulaud, Penelope Fillon est attendue, ce matin, chez les magistrats financiers, à moins que le rendez-vous ne soit décalé pour davantage de discrétion. L'épouse du candidat de la droite à la présidentielle est convoquée dans le cadre de l'enquête sur les soupçons d'emplois fictifs lorsqu'elle était employée en tant qu'assistante parlementaire de François Fillon puis de son successeur à l'Assemblée et rémunérée à La Revue des deux mondes. A l'issue de son audition, Penelope Fillon pourrait être mise en examen ou placée sous le statut, plus favorable, de témoin assisté.

#2 Fillon toujours nettement distancé, selon un sondage Ipsos pour France Télévisions

A vingt-six jours de l'élection présidentielle, l'hypothèse d'un duel entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron au second tour se renforce un peu plus. Selon un sondage Ipsos-Sopra Steria pour France Télévisions et Radio France publié mardi, les deux candidats font la course en tête, avec respectivement 25% et 24% des intentions de vote. Si le premier tour avait lieu dimanche, le candidat de la droite, François Fillon, serait nettement distancé, avec seulement 18% des voix. A gauche, Jean-Luc Mélenchon (14%) devancerait Benoît Hamon (12%).

#3 Premier ralliement d'une sarkozyste à Macron

Emmanuel Macron attire les politiques de tous bords. Socialistes, juppéistes, centristes ou chiraquiens...Et maintenant les sarkozystes. Marie-Anne Montchamp, ancienne ministre de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy, sous le gouvernement de François Fillon, a annoncé ce matin sur franceinfo son ralliement au candidat d'En marche ! "Il [Emmanuel Macron] a le projet le plus innovant. Je continuerai à porter mes combats auprès de lui", a-t-elle déclaré.

#4 Philippe de Villiers va-t-il rallier Marine Le Pen ?

C'est une rumeur qui court depuis plusieurs semaines. On le sait, Philippe de Villiers ne tarit pas d'éloges sur Marine Le Pen, estimant qu'elle a une "carrure présidentielle". Va-t-il sauter le pas et rallier la candidate du FN ? Le mystère reste entier. Lundi, RTL annonçait que l'ancien président du conseil départemental de Vendée excluait désormais de s'afficher avec Marine Le Pen. Mais Philippe de Villiers a aussitôt démenti sur son compte Twitter. Ce matin, le député frontiste du Gard, Gilbert Collard a annoncé sur Radio Classique que le Vendéen rejoignait Marine Le Pen mais au même moment, sur LCI, le vice-président du FN, Louis Aliot avouait qu'il ne savait pas ce qu'allait faire Philippe de Villiers.

#5 40% des Français prêts à voter blanc

Les Français ne sont pas satisfaits de l'offre politique et souhaitent le faire savoir. Selon un sondage réalisé par Ipsos pour le think tank Synopia et dévoilé ce matin par L'Opinion, 40% des électeurs seraient prêts à voter blanc si celui-ci était reconnu. Ils étaient seulement 26% en 2014. "Aujourd'hui, une pétition en faveur du vote blanc a déjà recueilli 230 000 signatures, c'est la première fois qu'une telle démarche a autant de succès", explique au quotidien Olivier Durand, de l'Association pour la reconnaissance du vote blanc.

 

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28 mars 2017 2 28 /03 /mars /2017 06:49
"L'Union européenne va mourir", se réjouit Marine Le Pen
 
 Marine Le Pen, candidate Front national à la présidentielle, le 26 mars 2017 en meeting à Lille

Marine Le Pen, candidate Front national à la présidentielle, le 26 mars 2017 en meeting à Lille

 

FN: en meeting à Lille, Marine Le Pen promet que l'Union européenne va "mourir" si elle est élue présidente en mai prochain

Marine Le Pen, candidate Front national à la présidentielle, a promis dimanche en réunion publique à Lille que l'Union européenne allait "mourir" si elle est élue présidente en mai prochain.

Devant plusieurs milliers de partisans très enthousiastes dans un Zénith de Lille pratiquement plein, la présidente du Front national a paraphrasé Chateaubriand: "Un siècle nouveau est né, mes amis, et il s'est mis en marche".

"Nous allons vivre trois événements majeurs", a prédit celle que les sondages donnent à égalité avec Emmanuel Macron au premier tour mais nettement battue par lui au second.

Premier de ces événements, c'est "l'Union européenne (qui) va mourir parce que les peuples n'en veulent plus. Nous allons changer d'Europe, car l'idée européenne est mise à mal par ces fossoyeurs que sont les fédéralistes", a assuré Mme Le Pen, lui préférant l'Europe des "coopérations".

Mme Le Pen prône officiellement, si elle arrive au pouvoir, une négociation de six mois avec l'Union européenne pour "retrouver les souverainetés budgétaire, territoriale, législative et monétaire". 

A l'issue de cette période, elle organiserait un référendum sur la sortie de l'UE, promettant de quitter l'Elysée si les Français votent à l'inverse de ce qu'elle aura prôné.

Autres événements marquants à venir d'après la dirigeante d'extrême droite, "la fin de la mondialisation sauvage" et "le multiculturalisme démasqué".

Face à une élection qu'elle présente, comme toutes les précédentes, comme un "choix de civilisation", "le seul vote utile est celui qui permet de changer concrètement les choses", a affirmé Mme Le Pen, sous les "On est chez nous" ou "On va gagner" à l'unisson.

"L'insurrection démocratique du peuple est en marche", affirme Mme Le Pen en assurant: "Nous ne nous déroberons pas, nous avons rendez-vous avec l'Histoire."

Mme Le Pen s'est "félicitée" que les "mondialistes nous regardent avec crainte (...) L'heure de la grande confrontation démocratique des mondialistes et des patriotes est arrivée."

Elle avait auparavant critiqué ses adversaires principaux d'après les sondages, Emmanuel Macron mais aussi François Fillon.

"Ces politiciens développent une vision post-nationale, c'est-à-dire qu'ils cherchent à enterrer toute idée de communauté nationale. Ils sont chez nous la voix et le soutien de ceux qui véhiculent un esprit d'abandon et, on l'a vu depuis plusieurs décennies, de repentance", a encore dit Mme Le Pen.

"Leur trahison, c'est le prix de leur admission dans la caste mondiale, celle qui se réunit à Davos, qui passe sans vergogne de la fonction publique aux banques d'affaires", référence à M. Macron, "celle qui vit grassement du trafic d'influence international en utilisant un carnet d'adresses par exemple de Premier ministre", accusation visant M. Fillon.

Elle a raillé en Emmanuel Macron le "Jean-Claude Van Damme de la politique: on ne comprend rien à ce qu'il dit et à ce qu'il veut, mais quand on comprend ce qu'il dit, c'est assez inquiétant".


Autour de l'ancien ministre de l'Economie "s'agglutinent les éclopés du hollandisme", a moqué aussi Mme Le Pen, qui peine à trouver des alliés de poids à l'extérieur de son parti.

Environ 450 personnes selon la police et la CGT ont manifesté dimanche après-midi dans le centre de Lille pour protester contre la venue de la candidate FN.

 
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28 mars 2017 2 28 /03 /mars /2017 06:44
Royal dément avoir quitté précipitamment la Guyane comme accuse Fillon
Royal dément avoir quitté précipitamment la Guyane comme accuse Fillon

Ségolène Royal devant la presse dans la cour de l'Elysée à Paris, le 22 mars 2017

 

Présidentielle: Royal dément avoir quitté précipitamment la Guyane comme accuse Fillon

Ségolène Royal a démenti lundi soir avoir quitté précipitamment la Guyane, quand les grèves et manifestations ont débuté dans ce territoire d'Outre-mer, contrairement aux accusations du candidat de la droite à la présidentielle François Fillon, selon une mise au point du ministère.

En déplacement en Guyane du 16 au 18 mars à l'occasion notamment de la tenue de la 14ème conférence de Carthagène (CTG), la ministre de l'Environnement a écourté le dernier jour de sa visite après l'irruption d'un groupe d'hommes cagoulés, lors de cette conférence.

Le groupe, baptisé "Les 500 frères" et créé récemment par des citoyens contre "l'insécurité en Guyane", multiplie les manifestations.

Lundi, le candidat de la droite et ancien Premier ministre a déploré qu'on ait "vu Madame Royal s'enfuir dès que les incidents ont commencé".

"Ségolène Royal dément être partie précipitamment de Guyane", a riposté quelques heures plus tard le ministère de l'Environnement. 

La ministre "n'a pas interrompu la conférence et le dialogue a eu lieu dans le plus grand calme", a-t-on assuré de même source. 

Et plus encore, elle a "réussi, après le départ des manifestants et malgré cette forte perturbation, à faire adopter une déclaration commune" de 25 États membres des Caraïbes et du Nord du Plateau des Guyanes afin de renforcer leur coopération pour lutter contre la pollution, protéger la biodiversité et favoriser le développement d'une économie durable.

Cette déclaration, "l'appel de Cayenne", a été proposée par la ministre française de l'Environnement et de la Mer, Ségolène Royal, en clôture de la 14ème Conférence de la Convention de Carthagène.

Mme Royal a toutefois annulé sa participation à l'inauguration du pont qui relie la Guyane au Brésil, finalement faite par le Préfet et les autorités locales du Brésil, mais c'est parce que "les Brésiliens ont annulé la participation ministérielle de leur côté", a fait valoir son entourage.

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28 mars 2017 2 28 /03 /mars /2017 06:39
Nicolas Sarkozy s'en prend au "pouvoir médiatique"
Nicolas Sarkozy s'en prend au

Nicolas Sarkozy, en octobre 2016

 

Ce n'est pas la charge d'un ancien président de la République, mais celle d'un "simple avocat". Selon des informations avancées par le magazine Valeurs Actuelles, Nicolas Sarkozy a pris la parole à l'occasion devant un parterre de 300 personnes du barreau de Paris, lundi 20 mars, à l'occasion de la cérémonie de remise de la médaille de l'Ordre national de la Légion d'Honneur à l'avocat Jean-Yves Le Borgne.

En pleine "affaire(s) Fillon", l'ex-chef de l'État s'est livré à une critique virulente du "pouvoir médiatique", coupable selon lui d'influencer la justice.


Honoré le 20 mars, Jean-Yves Le Borgne était l'avocat d'Eric Woerth lors de l'affaire Bettencourt, alors que ce dernier était ministre de François Fillon. "La chose était entendue. Elle avait été tranchée par certains observateurs. Eric Woerth était coupable. La chose était jugée avant même d'être instruite. Il était mon ministre. Il était mon ami. C'était là certainement des circonstances aggravantes. Eric Woerth avait été condamné par le tribunal médiatique et vous, cher Jean-Yves, vous l'avez fait relaxer par un tribunal judiciaire", a t-il lancé, avant de s'interroger sur le fonctionnement de la justice.

ROBE NOIRE CONTRE ROBE ROUGE

"Qui arrêtera l'ingérence du pouvoir médiatique dans le fonctionnement de l'autorité judiciaire ? Qui arrêtera l'instrumentalisation des procédures par le pouvoir médiatique ? Qui aura suffisamment de courage pour écrire le J'accuse qui manque à notre siècle ?", aurait-ainsi déclaré Nicolas Sarkozy selon Valeurs Actuelles, qui retranscrit ce lundi 27 mars le discours prononcé à huis-clos par l'ancien président de la République, qui réclame des droits de la défense "à la hauteur" de ceux de l'accusation, expliquant qu'aucune démocratie ne peut tolérer qu'un pouvoir n'ait pas d'autres mesures de contrôle qui lui-même". "Ce n'est pas parce que la robe de l'avocat est noire quand celle du magistrat se teinte de rouge que ces deux robes n'ont pas droit au même respect", ajoute t-il.

Du côté de la campagne pour la présidentielle, la contre-offensive de François Fillon prend un tour judiciaire avec la saisine ce lundi 27 mars du parquet par six responsables LR pour des "infractions" commises selon eux par l'exécutif et relevées par le livre "Bienvenue Place Beauvau". Le candidat de la droite est toujours distancé par Emmanuel Macron et Marine Le Pen dans les sondages.


En attendant, le livre "Bienvenue Place Beauvau", écrit par trois journalistes, dont deux du Canard Enchaîné, alimente sa thèse d'un "complot". M. Fillon avait ainsi dénoncé la semaine dernière l'organisation par François Hollande, à la tête d'un "cabinet noir", de fuites dans la presse sur ses affaires judiciaires, le chef de l'Etat dénonçant en retour des "allégations mensongères".
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28 mars 2017 2 28 /03 /mars /2017 05:53
François Fillon veut créer une «commission sur la moralisation de la vie publique»

PRESIDENTIELLE Il était le seul à ne pas avoir répondu à l’association Transparency, qui avait fait 11 propositions aux candidats, en matière de transparence...

François Fillon, le 6 mars 2017.
François Fillon, le 6 mars 2017. - CHAMUSSY/SIPA

 

François Fillon, s’il devient président, entend créer une « commission » chargée de « faire des propositions sur la transparence et la moralisation de la vie publique », indique-t-il dans une lettre à Transparency dont l’AFP a eu connaissance ce lundi.

L’ancien Premier ministre, empêtré dans les affaires notamment d’emplois présumés fictifs de sa famille, était le seul à ne pas avoir répondu dans les temps à l’association anticorruption, qui avait fait 11 propositions aux candidats à l’Elysée.

>> A lire aussi : Tous les candidats à l'Elysée ont fait des promesses à l'ONG Transparency (sauf Fillon)

« Une définition claire du rôle et du profil des assistants parlementaires »

Dans son courrier envoyé jeudi soir et publié par Transparency International France, François Fillon indique qu’il confiera « à une commission présidée par le vice-président du Conseil d’Etat, le procureur général près la Cour de cassation et le premier président de la Cour des comptes le soin de faire des propositions sur la transparence et la moralisation de la vie publique, et notamment sur la prévention des conflits d’intérêts et les règles en matière de transparence ». Par ailleurs, François Fillon précise dans son courrier le calendrier pour l’Assemblée nationale et le Sénat, qui devront « proposer avant la fin de cette année » des voies pour renforcer « leurs mécanismes de contrôle et de déontologie ».

>> A lire aussi : Transparency International pointe du doigt les pays émergents

Et de préciser : ces propositions, « dans la concertation avec les assemblées et entre les différents partis représentés », « devront prendre en compte une définition claire du rôle et du profil des assistants parlementaires et une transparence totale sur ce sujet ». Parmi les propositions de Transparency, le candidat de la droite s’engage en termes généraux sur le non-cumul des mandats, la « prise en compte du casier judiciaire et de la situation fiscale des candidats », et encore le « renforcement du contrôle des dépenses des parlementaires ».

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28 mars 2017 2 28 /03 /mars /2017 05:48
Présidentielle: Hamon «refuse» que la gauche suive Emmanuelli «dans le tombeau»

HOMMAGE Benoît Hamon a déclaré, ce lundi, « refuser » que la gauche, menacée d'élimination au premier tour de la présidentielle, suive l'ancien président de l'Assemblée « dans le tombeau »...

Benoît Hamon appele à «faire front»
Benoît Hamon appele à «faire front» - Francois Mori/AP/SIPA

>> A lire aussi : Benoît Hamon à Berlin: Comment réussir son entretien avec Angela Merkel

« Voilà ce que nous a enseigné Henri Emmanuelli : faire front, faire face », a-t-il lancé. « Toujours préférer quand on a l’honneur de servir la gauche les états de service, aux états d’âme », a enchaîné le candidat, confronté au manque de soutien d’une partie du PS. « Nous n’avons pas le droit d’abandonner la gauche » a enjoint Benoît Hamon, citant à nouveau l’ancien député des Landes et ex-premier secrétaire du PS, décédé mardi dernier.

Cambadélis en appelle à la mobilisation du PS

« La gauche doit vivre, et nous refusons, je refuse qu’elle te suive dans le tombeau », a poursuivi le candidat, menacé selon les sondages d’être sèchement éliminé au premier tour, qui plus est en cinquième position derrière Jean-Luc Mélenchon. « Nous ne t’oublierons jamais, je ne t’oublierai jamais mon grand camarade. Vive Henri Emmanuelli, vive la gauche, vive le grand parti socialiste, vive la République ! », a lancé Benoît Hamon à la fin de son discours, dans la cour du siège du PS.

>> A lire aussi : Présidentielle: Le «vote utile» est-il en train de pourrir la campagne de Benoît Hamon?

Appelant lui aussi un peu plus tôt à « faire corps », le patron du PS Jean-Christophe Cambadélis a assuré à Benoît Hamon que les socialistes étaient « à (s) es côtés » sur le « chemin » de sa campagne ». « La disparition d’Henri nous remplit de tristesse, mais nous appelle aussi, à notre tour, à ne jamais renoncer », a-t-il affirmé.

 

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28 mars 2017 2 28 /03 /mars /2017 05:44
Affaire Fillon: Sarkozy dénonce «l'ingérence du pouvoir médiatique» dans la justice

DIATRIBES Nicolas Sarkozy a récemment fustigé « l'ingérence du pouvoir médiatique » dans le fonctionnement de la justice, a rapportée, ce lundi, l'hebdomadaire « Valeurs Actuelles »...

L'ancien président du parti LR Nicolas Sakozy, le 22 janvier 2016 à l'Elysée à Paris.
L'ancien président du parti LR Nicolas Sakozy, le 22 janvier 2016 à l'Elysée à Paris. - Christophe Ena/AP/SIPA

 

En pleine affaire Fillon, Nicolas Sarkozy a exprimé sa lassitude face à « l'ingérence du pouvoir médiatique » lors d'une intervention devant des avocats du barreau de Paris, rapporte ce lundi l'hebdomadaire Valeur Actuelles.

« Qui arrêtera l'ingérence du pouvoir médiatique dans le fonctionnement de l'autorité judiciaire ? Qui arrêtera l'instrumentalisation des procédures par le pouvoir médiatique ? Qui aura suffisamment de courage pour écrire le J'accuse qui manque à notre siècle ? », a notamment lancé l'ancien président de la République lui-même avocat, dans cette intervention prononcée le 20 mars et que l'hebdomadaire indique s'être procurée.

Sarkozy s'en prend au secret des sources 

Interrogé par l'AFP, l'entourage de l'ancien président des Républicain n'a pas démenti ces propos, prononcés à l'occasion de la remise de la Légion d'honneur à l'avocat Jean-Yves Le Borgne, qui fut le défenseur d'Eric Woerth dans l'affaire Bettencourt. L'ex-président du parti Les Républicains s'en est aussi pris au secret des sources des journalistes, selon lui « devenu par la loi, non plus un simple précepte déontologique mais un principe de droit alors que dans le même temps le secret professionnel des avocats peut faire, à tout moment, l'objet d'une perquisition voire d'un interrogatoire dans le cadre d'une garde à vue ».

>> A lire aussi : Justice: Cazeneuve exhorte les futurs magistrats à ne pas se laisser «impressionner»

« La justice doit, bien sûr, chercher la vérité et pour cela elle dispose de moyens d'investigation nombreux et puissants mais elle ne peut ni inventer des intentions en renversant la charge de la preuve, ni arracher par la force et l'intimidation ce qu'elle doit obtenir par l'instruction, la déduction et la confrontation des points de vue », s'est aussi insurgé dans cette diatribe le candidat malheureux à la primaire de la droite, selon ces propos rapportés. Entre autres affaires judiciaires, Nicolas Sarkozy a été renvoyé début février en procès, avec treize autres protagonistes, pour ses dépenses excessives lors de la campagne présidentielle de 2012 dans l'affaire Bygmalion.

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28 mars 2017 2 28 /03 /mars /2017 05:36

Une meilleure compétitivité pour plus d'emplois, par Maurice Leroy porte parole des Centristes.

Certains mots font peur en France. Parmi eux : la compétitivité.
Souvent brandie par les représentants de la gauche comme l’arme des grands patrons contre les travailleurs modestes, la compétitivité est au contraire ce qui permet à notre économie de redémarrer et donc à notre société de se porter mieux !
La preuve : la réussite incontestable du Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi, le fameux CICE, qui permet à la France de retrouver des couleurs économiques ces dernières années.
Certains candidats comme Benoît Hamon ou Jean-Luc Mélenchon dénoncent, voire veulent supprimer le CICE.
Il est au contraire temps de renforcer nos leviers de compétitivité ! Cela passe nécessairement par une remise en question du temps de travail, plus de souplesse et moins de charges pour nos entreprises. A la clé : de meilleurs gains de productivité, plus d’investissements et in fine plus d’emplois pour les Français !
 
 
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  • : Le blog de Zuwala Richard
  • : Prévention et santé.Insertion de personnes en détresse sociale. Intervenant sur les problèmes d'addictologie.(alcool, drogue) Photographe amateur. Membre du bureau départemental et national fédération UDI de la Somme Président de la Croix Rouge locale de Ham (80) J'ai écrit un livre paru en 2005 *Une Vie Autre et Nouvelle* édité par la Société des Écrivains. Président de la Croix Rouge de Ham (Somme) Membre du Conseil d'Administration Alcool Assistance (Somme) Secrétaire adjoint du bureau départemental de la Somme Membre du CCAS de HAM Somme
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