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12 octobre 2016 3 12 /10 /octobre /2016 20:54
UDI de la Somme
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Les mercredis de l'UDI 80

La 1ère édition s'est déroulée à Amiens le Mercredi 12 Octobre 2016, Espace Dewailly,elle était animée par François-Xavier Level, directeur délégué au Pacte pour l'emploi et l'innovation et la recherche à Amiens Métropole, sur le thème de la Politique des Clusters.

L'innovation et la recherche doivent en effet être au cœur de nos territoires si nous voulons renforcer leur compétitivité, créer du développement économique et donc de l'emploi.

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11 octobre 2016 2 11 /10 /octobre /2016 18:49

Cannabis : les interrogations de Marisol Touraine

La ministre de la Santé se dit contre une dépénalisation de l'usage du cannabis, mais s'interroge sur la pertinence des sanctions actuelles.

La ministre de la Santé Marisol Touraine a réaffirmé mardi son opposition à la dépénalisation du cannabis, mais a souhaité un débat sur l'efficacité des sanctions pénales pour réprimer son usage. « Est-ce qu'une amende forfaitaire ne serait pas une meilleure sanction ? » s'est demandé la ministre sur RMC-BFM TV. Interrogée sur la nécessité d'un débat sur la légalisation du cannabis, Marisol Touraine a jugé que c'était utile, mais elle s'est demandé si la campagne présidentielle était « le meilleur moment ».

« Je suis, en tout cas, favorable à ce que le débat puisse exister sur la nature de la sanction », a-t-elle déclaré.

La ministre a également rappelé qu'elle n'entendait pas « banaliser le cannabis ». « Je me bats contre les méfaits du tabac et de l'alcool... je ne vous dirai pas que le cannabis ne présente aucun risque » a-t-elle dit, avant de « s'interroger » sur l'efficacité de la sanction pénale qui existe aujourd'hui. L'usage de stupéfiants peut être puni d'un an d'emprisonnement et de 3 750 euros d'amende, mais la loi du 14 août 2014 prévoit déjà la possibilité d'une amende transactionnelle facultative en fonction des circonstances et de la gravité de l'infraction. Une sévérité qui n'empêche pas les jeunes Français d'être les champions d'Europe de la consommation de cannabis.

Rapport

Un groupe de travail de la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca) a déjà proposé cet été de remplacer la peine de prison par une contravention et une amende.

La semaine dernière, le think tank proche du PS Terra Nova était allé beaucoup plus loin : il suggérait que le cannabis puisse être légalisé et régulé selon le modèle des jeux en ligne. Ceux-ci, considérés comme « une pratique récréative ambivalente pouvant entraîner un risque d'addiction » au même titre que le cannabis, ont été légalisés et régulés en France afin de parvenir à « l'assèchement du marché criminel, d'un côté, la prise en compte d'un problème de santé publique, de l'autre », expliquait le rapport. Terra Nova jugeait que ce double objectif devait également être poursuivi au sujet du cannabis.

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8 octobre 2016 6 08 /10 /octobre /2016 18:21

Vendredi, dans le cadre du forum Neuroplanète, Le Point a réuni deux des plus éminents spécialistes en termes d'addictologie : l'addictologue Marie de Noailles - auteur d'Addict* (écrit avec Émilie Lanez, grand reporter au Point) - et Pier-Vincenzo Piazza, directeur du Neurocentre Magendie de Bordeaux. Alcool, drogues, jeux vidéo : l'assistance s'est passionnée pour ce débat entre deux spécialistes dont l'approche – psychologique et médicale – se complètent. Interview croisée.

Le Point.fr : Comment définit-on un « addict » ?

Pier-Vincenzo Piazza : Un toxicomane, un « addict », est quelqu'un qui a un problème lié à la dérive de la consommation d'un produit. Les premiers signes d'une prise pathologique sont une consommation excessive et régulière et le début de petits problèmes (retards, difficultés à se lever). Mais ça reste une consommation « organisée ». La seconde étape, c'est lorsque la consommation envahit totalement la sphère du comportement. Elle se matérialise par une perte de contrôle avec l'incapacité de faire autre chose que de prendre de la drogue.

Marie de Noailles : Ce n'est pas forcément quelqu'un qui consomme trop. Avant, on diagnostiquait la consommation excessive en fonction du volume consommé. Aujourd'hui, certains consomment trop, mais ne sont pas « addict » et seront capables d'arrêter. Et à l'inverse, il y a ceux qui consomment moins, mais qui sont « addict ». On peut repérer un comportement addictif par rapport aux conséquences que cela provoque dans la vie de la personne concernée.

On ne peut pas se contenter d'un traitement chimique

Peut-on expliquer comment devient-on « addict » ?

Pier-Vincenzo Piazza : Le passage d'une consommation normale à une consommation pathologique est dû à une vulnérabilité biologique. Ceci s'explique en petite partie par les gènes, par l'expérience de vie (au niveau prénatal comme à l'adolescence) et l'âge, la période de développement dans laquelle vous vous trouvez. À l'adolescence, les drogues n'ont pas le même impact au niveau biologique et surtout ont un impact à long terme que l'on ne retrouve pas si le cerveau est déjà à maturité.

Marie de Noailles : Ce ne sera pas toujours les mêmes causes pour les mêmes personnes : on peut être tous les deux addicts et consommer pour des raisons différentes. En revanche, l'addiction a des facteurs biologique, psychologique et social.

Peut-on soigner l'addiction ?

Pier-Vincenzo Piazza : L'addiction se soigne, parfois toute seule après des parcours très longs, parfois avec des psychothérapies ou des thérapies de substitution. L'être humain est « addict » à un certain nombre de choses : à la nourriture, au sexe, à l'air. Le problème n'est pas l'addiction en tant que telle, mais le fait de l'être à un produit qui prend le contrôle sur tout le reste et qui nous fait du mal. L'absence de perception d'effet indésirable par les fumeurs explique en partie la difficulté à se sevrer.

Marie de Noailles : Il faut faire un peu de tout, comme toutes les maladies : on ne peut pas se contenter d'un traitement chimique. Il convient de s'occuper des autres facteurs. Dans une prescription pour une grippe, vous avez un antibiotique, un médicament pour la gorge, un spray pour le nez… Je pense que c'est pareil pour le traitement des addictions. Il faut bien sûr prévenir et faire du soin, de l'accompagnement.

Le fait qu’une drogue soit légale ou pas n’a rien à voir ni avec sa capacité d’addiction ni avec sa toxicité

L'accès à l'alcool est généralisé dans nos sociétés. Cela complique-t-il la faculté à sensibiliser en matière d'addiction ?

Pier-Vincenzo Piazza : Le fait qu'une drogue soit légale ou pas n'a rien à voir ni avec sa capacité d'addiction ni avec sa toxicité. La drogue la plus toxique et qui donne l'addiction la plus dévastatrice, c'est l'alcool. Les raisons de la légalité d'une drogue ne sont pas liées avec son effet sur la santé et, d'ailleurs, les patients le savent. Un alcoolique, vous n'avez pas à le convaincre que cette drogue est dévastatrice !

Marie de Noailles : J'ai pris beaucoup de drogues, ce qui me donne une certaine connaissance du sujet. Pour moi, l'alcool a été le produit le plus difficile à arrêter : il y a de l'alcool à tous les coins de rue, dans le frigo, les bars. C'est plus difficile de vivre dans notre environnement social sans boire d'alcool. Quand je vais dans une soirée ou à un mariage et que je demande un Coca, c'est plus compliqué pour la personne de me le trouver plutôt que de m'offrir un verre de champagne ou de vin. Il ne faut pas oublier qu'en France, l'alcool tue beaucoup plus que la cocaïne ou l'héroïne.

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7 octobre 2016 5 07 /10 /octobre /2016 19:49
Réunion autour de Julie Codron
Réunion autour de Julie Codron
Réunion autour de Julie Codron
Réunion autour de Julie Codron
Réunion autour de Julie Codron
Réunion autour de Julie Codron
Réunion autour de Julie Codron
Réunion autour de Julie Codron

Ce jour Vendredi 07 Octobre 2016 à 18h30 une sympathique réunion s'est déroulée autour de Julie Codron à "La Taverne" à Ham, suite à son élection aux régionales 2016, suivi d'un apéritif dînatoire.

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2 octobre 2016 7 02 /10 /octobre /2016 09:01

APL, retraites, prix du gaz : ce qui change au 1er octobre

Les intérêts produits par les sommes placées sur un Livret A, un LED ou un LEP vont entrer dans l'évaluation des revenus des personnes bénéficiant des APL.

©FRANCOIS GUILLOT / AFP

A lire aussi

Politique

Retraites: le gouvernement ne prévoit pas de revalorisation

France

Les pensions stagnent, les retraités dans la rue

Orange avec AFP, publié le vendredi 30 septembre 2016 à 19h01

Gel des pensions de retraite, aides au logement, sécurité, prix du gaz... Comme à chaque début de mois, de nouveaux dispositifs et mesures entrent en vigueur ce 1er octobre 2016.

• RESTRICTIONS SUR LES APL :

A partir du 1er octobre, la Caisse d'allocations familiales (CAF) va changer son mode de calcul pour les aides personnalisées au logement (APL) : une partie du patrimoine des familles sera désormais pris en compte.

Le livret A, le livret de développement durable (LDD), et le livret d'épargne populaire (LEP) seront pris en compte. Jusque là, les aides n'étaient calculées qu'en fonction de leurs revenus. Si le patrimoine dépasse les 30.000 euros, les aides seront rabotées selon un décret présenté le 12 septembre. Pour enrayer la hausse constante des APL - première dépense de l'État sur le logement, l'État prévoit de diminuer la dépense total de 5 millions d'euros.

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30 septembre 2016 5 30 /09 /septembre /2016 06:44

Maladie de Lyme: un "plan national" pour améliorer la prise en charge

Une tique, dont la morsure peut transmettre la maladie de Lyme, sur une photo fournie par l'INRA le 20 juillet 2016

Monde

Espagne: un mort de la fièvre du Congo après une piqure de tique

High-tech

Maladie de Lyme: ce que prévoit le plan du gouvernement

AFP, publié le jeudi 29 septembre 2016 à 17h00

Maladie de Lyme: le gouvernement lance un "plan national" pour "améliorer" le diagnostic et la prise en charge

Le gouvernement a dévoilé jeudi son "plan national" pour améliorer la prise en charge de la maladie de Lyme, une annonce attendue de longue date par les associations de malades de cette pathologie émergente transmise par les tiques.

Parmi les quinze mesures présentées figurent le développement de nouveaux tests de diagnostic, une meilleure formation des médecins ou encore une information du public sur les dangers liés aux tiques.

"Ce plan vise à éviter le sentiment d'abandon et l'errance thérapeutique auxquels sont confrontés des malades de Lyme", a expliqué la ministre de la Santé Marisol Touraine, dans un communiqué publié à l'issue d'une rencontre avec les associations de patients.

Ces dernières, ainsi que certains médecins, critiquent la prise en charge insuffisante de cette pathologie infectieuse, évoquant de nombreux malades "non diagnostiqués ou mal soignés".

Transmise via une morsure de tique infectée par une bactérie, cette maladie se guérit facilement lorsqu'elle est prise tôt mais est difficile à identifier dans ses formes tardives, car ses symptômes peuvent être nombreux et ne sont pas spécifiques de cette affection (maux de tête, nausées, douleurs articulaires, etc.).

La maladie s'est développée ces dernières années parallèlement à la propagation des tiques, qui ont peu de prédateurs naturels, grâce à des conditions climatiques favorables.

- Des panneaux à l'entrée des forêts -

Le premier axe du plan gouvernemental vise à surveiller cette prolifération, en dressant une cartographie de la présence des tiques en France, en développant une application mobile pour signaler les morsures de ces parasites, ou encore en évaluant l'efficacité des répulsifs existants.

Des panneaux d'information seront aussi installés à l'entrée des forêts pour conseiller promeneurs et randonneurs.

Deuxième objectif: "généraliser la surveillance épidémiologique", car aujourd'hui on ne connaît pas précisément la fréquence de la maladie dans la population française.

Pour les professionnels de santé, parfois démunis pour savoir comment poser un diagnostic, le plan prévoit une sensibilisation au sujet dans le programme des étudiants en médecine et dans la formation continue des médecins généralistes.

Et, d'ici le printemps prochain, un collectif d'experts établira, en lien avec les associations, un protocole national de diagnostic et de soin, qui permettra d'uniformiser et de mieux rembourser la prise en charge des patients. Parallèlement, dans chaque région, un centre spécialisé sera désigné, pour y orienter les malades.

Le gouvernement rappelle aussi qu'il a saisi fin juin la Haute autorité de santé (HAS) pour étudier l'inscription de la maladie de Lyme dans la liste des affections de longue durée, ce qui ouvrirait droit à une prise en charge à 100% par la Sécurité sociale.

Le plan comporte aussi un volet recherche, destiné à évaluer les tests de diagnostic de la maladie, considérés comme encore peu fiables, et à en développer de nouveaux.

"Nous sommes agréablement surpris par l'annonce du ministère et par la tonalité du plan", a déclaré à l'AFP Anne Jourdan, présidente de l'association France Lyme, plaidant pour une mise en oeuvre rapide, avant les échéances électorales de 2017.

Elle regrette en revanche que l'Assurance maladie n'ait pas été représentée à la réunion au ministère de la Santé, ce qui n'a pas permis d'avancer sur la question des médecins poursuivis par l'Ordre des médecins ou la Sécurité sociale pour avoir utilisé des protocoles de soin non reconnus officiellement.

Quelque 27.000 nouveaux cas de borrélioses de Lyme (du nom de la bactérie transmise par la tique) sont officiellement déclarés chaque année en France, mais selon l'association de malades en colère Lyme sans frontières, ce chiffre serait en réalité bien supérieur, de l'ordre de "dix fois plus".

Pour ma part j'ai eu cette maladie il y a quelques années

La guérison est longue et douloureuse

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28 septembre 2016 3 28 /09 /septembre /2016 06:33

Faites-vous confiance aux médicaments génériques ?

Le gouvernement lance une campagne pour promouvoir les médicaments génériques (photo d'illustration).

France

Dépakine : plus de 14.000 femmes exposées, un dispositif d'indemnisation d'ici à la fin 2016

France

Santé : augmenter la confiance dans les génériques

Près de huit Français sur dix utilisent des médicaments génériques. Mais sont-ils tous convaincus de leur efficacité ? Pas sûr... C'est pourquoi le gouvernement lance une nouvelle campagne nationale d'information sur ces traitements "sans marque".

Objectif : combattre les freins qui subsistent chez une partie des médecins et de la population face aux génériques, moins coûteux pour l'Assurance maladie.

"Nous sommes en progrès, mais nous restons derrière nos voisins européens", a regretté la ministre de la Santé Marisol Touraine en donnant mardi le coup d'envoi de la campagne, qui se prolongera jusqu'au 27 novembre. Ce retard s'explique, selon elle, par le fait qu'"encore trop de Français et de professionnels de santé continuent de s'interroger sur les médicaments génériques".

Une majorité de Français utilise désormais les génériquespar BFMTV


Une enquête BVA publiée mardi montre que près de huit Français sur dix utilisent des médicaments génériques. Mais le degré de "confiance" qu'ils leur accordent reste "plus modéré", avec une note moyenne de 6,8/10 dans le grand public et de 6,6/10 chez les médecins. Le niveau de confiance est en revanche plus élevé (8,7/10) chez les pharmaciens, qui sont les professionnels de santé les plus convaincus par les génériques.

Marisol Touraine rappelle que le générique est "un pilier essentiel pour garantir la pérennité de notre système de santé". Il a déjà permis de réaliser 7 milliards d'euros d'économies en l'espace de cinq ans et devrait, selon elle, encore permettre de faire 300 à 350 millions d'euros d'économies supplémentaires au cours des trois prochaines années.

Un spot télévisé va être diffusé du 27 septembre au 18 octobre, suivi de spots radios, à partir du 22 octobre, donnant la parole à des experts et à des professionnels de santé. Des affiches seront également apposées dans les pharmacies et les centres commerciaux, et publiées dans la presse. Enfin, des vidéos pédagogiques seront disponibles sur les réseaux sociaux. Par ailleurs, un espace d'information et d'échanges au service des professionnels de santé et du grand public est proposé sur le site www.medicaments.gouv.fr jusqu'au 25 novembre.

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25 septembre 2016 7 25 /09 /septembre /2016 18:34

Résultats du second tour des départementales du Canton de Ham.

Eppeville

Inscrits: 1474

Votants: 405

Blancs: 19

Nuls: 8

Exprimés: 378

Potel: 164 voix

Bailleux: 214 voix

70% d'abstentions sur cette commune

Ham

Inscrits: 3129

Votants: 926

Blancs: 41

Nuls: 29

Exprimés: 855

Potel: 465 voix

Bailleux: 390 voix

Résultats du second tour des départementales du Canton de Ham.

Inscrits: 21418

Bulletins et enveloppes annulées: 148 2,21%

Blancs: 352 5,26%

Votants: 6688 31,23%

Suffrages exprimés: 6188 92,52%

Potel: 3479 voix 56,22%

Bailleux: 2709 voix 43,78%

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23 septembre 2016 5 23 /09 /septembre /2016 19:46
Fédération UDI de la Somme
Fédération UDI de la Somme
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Fédération UDI de la Somme
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Fédération UDI de la Somme
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Fédération UDI de la Somme
Fédération UDI de la Somme
Fédération UDI de la Somme
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Rentrée de l'UDI Somme le 23 septembre 2016 Espace Dewailly à Amiens

La soirée a été l'occasion de présenter la nouvelle équipe qui s'est mise en place à la suite du renouvellement des instances départementales, de détailler les actions et événements qui rythmeront les prochains mois, mais également de faire un tour d'horizon de l'actualité

Un apéritif amical a été partagé après cette réunion.

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22 septembre 2016 4 22 /09 /septembre /2016 17:08

Dimanche 25 Septembre 2016 2ème tour des Départementales du Canton de Ham, mobilisez vous en votant et en faisant voter pour la liste Didier Potel, Françoise Ragueneau, Alain Aquaire et Annick Maréchal. C'est une belle équipe de terrain.

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Présentation

  • : Le blog de Zuwala Richard
  • : Prévention et santé.Insertion de personnes en détresse sociale. Intervenant sur les problèmes d'addictologie.(alcool, drogue) Photographe amateur. Membre du bureau départemental et national fédération UDI de la Somme Président de la Croix Rouge locale de Ham (80) J'ai écrit un livre paru en 2005 *Une Vie Autre et Nouvelle* édité par la Société des Écrivains. Président de la Croix Rouge de Ham (Somme) Membre du Conseil d'Administration Alcool Assistance (Somme) Secrétaire adjoint du bureau départemental de la Somme Membre du CCAS de HAM Somme
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